jeudi 6 novembre 2008


Bonsoir, cher lecteur. Je ne vais pas m'énerver de suite avec la mise en page, je suis déjà assez sur les nerfs comme ça.
Car demain, cher ami, je dois prendre le bus n°12 à 08h45, prendre le train pour Zürich Aéroport à 9h20 à la gare de Lausanne pour être à 11h50 à l'aéroport précité, afin de prendre l'avion pour Amman à 13h35, attendre 3h00 dans le terminal d'Amman parce que l'autre imbécile d'avion a décidé de décoller 2h00 plus tard que l'horaire prévu, pour enfin arriver à Alep à 00h15!
Alors la mise en page...elle attendra.
Tu me diras, cher lecteur, mais que fous-tu devant cet ordinateur alors que tu vas partir dans quelques heures? N'as-tu dont point d'autres choses à faire que d'écrire des conneries sur le net? Ce à quoi je te demanderai, poliment, et ta soeur, elle bat le beurre?
C'est que justement, je suis convaincue d'avoir oublié quelque chose et que peut-être, le fait de déconner sur mon blog éveillera en moi cette chose indispensable qui se cache au plus profond de mon cerveau, et Dieu seul sait à quel point il est profond, mon cerveau, le neurone qui détient la solution. Mais en général, c'est trop tard, comme d'habitude! Et c'est excusable, car il y en a beaucoup, de neurones, et, chaque fois que je m'apprête à faire un voyage, tout se bloque. Des neurones cryogénisés. Plus rien. La ligne noire horizontale de ces postes de télés que les chères petites et moyennes têtes blondes ne connaissent pas, cette fameuse barre noire qui défilait de bas en haut sur un écran neige.
Je regarde bêtement ma valise trois fois trop pleine, mes armoires débordantes d'affaires d'hiver alors qu'à Alep, il fait entre 22 et 24°, celcius de préférence, seulement, comme les américains ne sont pas loin, va savoir si ils n'ont pas imposé leur Farenheit, ce qui me fouterait dans une belle m..e, mais soyons positives et espérons que les Syriens ne se soient pas laissés influencés.
Seulement, demain matin, dans nos contrées, il va faire 4° celcius. Comment s'habiller?!
Il va faire froid à l'arrêt de bus, chaud dans le bus, froid depuis le terminus du bus à notre nouveau super métro pour la gare, chaud dans le métro, froid sur les quais, chaud dans le train, froid quand on va fumer notre clope adorée de la gare à l'aéroport et après, chaud tout le temps. Je crois que je vais quand même mettre des petites chaussettes et quelques mouchoirs dans mon sac dans lequel trônent les billets d'avions que j'ai failli oublier!
A part ça, je pense que je t'agace profondément avec mes petites affaires personnelles et que tu attends, patiemment parce que tu es poli, cher lecteur, que je te décrivasse les objets qui sont sur les photos que j'ai incorporées dans mon blog. Ce à quoi je vais m'y atteler, ça me changera un peu les idées.
Ce sont deux parures. Mais où elles sont pour le moment, j'en ai aucune idée. Donc je vais faire d'abord une sauvegarde avant de faire la mise en page afin de savoir de quoi je parle.
Bon! J'ai fait ce que j'ai pu, si je rapproche les photos entre elles, elles giclent ailleurs, alors je reste zen, car entre ce que je vois et ce qui va être publié, un fossé se creuse.
La 1ère parure, bracelet mémoire et ras du cou 3 rangs, sont faits de chips de gemmes semi-précieuses de différentes roches. On y trouvera pêle-mêle, du jasper, du lapis-lazuli, de l'obsidienne, du carnelian, du topaz j'en passe et des meilleures.
La 2ème parure est faite de boutons ovales de Cyclop Agate et de White Topaz. Ces perles sont séparées entre elles par de petites intercalaires bien rondes biens lisses plaquées argent.
Ce n'est que le collier qui contient de la White Topaz. Sur le bracelet, cela n'aurait rien donné. C'est aussi sur le collier, fait de 2 rangs, que l'on trouvera un genre de médaillon fait avec les même matériaux que le necklace.
Ces deux parures partiront pour Dawanda World 2009, dont je ne commenterais plus le but de cette manifestation, l'ayant déjà fait sur mes blogs précédents. Et comme j'ai horreur de me répéter, mais qu'en plus, je n'ai pas envie de relire toutes mes conneries pour retrouver le paragraphe afin d'en faire un copier-collé, je te laisse, cher ami cybernétique, le soin de te taper toutes mes fantaisies afin de comprendre de quoi il s'agit, point à la ligne.
Dieu qu'elle était longue, cette phrase. Je ne pensais pas y arriver, mais je l'ai fait.
YES, I CAN.
Bon, sur ce doux délire, je m'en va te laisser, cher lecteur, et espère te revoir, même si t'existes pas, dès le 15 novembre, dac?!
Allez, je me tire.









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