samedi 24 octobre 2009

Vacances à Madrid


Madrid, le 24 octobre 2009




Je marque la date du billet, car vu la connexion délirante des hôtels wifi, je prépare mon billet sur un logiciel word afin de ne pas perdre tout mon texte sur mon blogue.

Comme je l'ai marqué en début de texte, je me trouve à Madrid, dans une pension bien sympa au presque centre de la ville, dans une chambre bien proprette, avec bains, wc, lavabo, lumière, TV et connexion WiFi merdique à souhait.

Ce qui ne m'empêche pas de penser à toi, cher lecteur virtuel, car cela peut expliquer mon manque de création de ces temps et mon abandon de mon blogue qui m'est pourtant si cher.

Donc j'ai pris mon portable hyper grand que je dois mettre dans une valoche, car aucune sacoche ne peut le contenir, (en fait, c'est un portable pour appartement, c'est ce que j'ai compris ici, à Madrid), et cela va sans dire qu'il pèse une tonne, pour une connexion WiFi en laquelle j'eus accordé trop vite ma confiance, au lieu de prendre l'objet que je suis en train de créer et qui m'aurait tout autant occupée sans peser des kilos qui me font mal au dos.

Ainsi je prends le temps d'écrire mon billet dans la chambre d'hôtel sans déjeuner, mais avec armoire et deux lits, afin de te décrire l'objet que je suis en train de faire, mais sans en montrer la photo, car je n'en ai pas pour l'instant.

Et il faut que j'arrête de manger sur mon clavier, cela évitera peut-être de mettre des miettes entre les touches et bloquer certaines lettres!

Je fais donc le choix de te montrer une photo de Madrid, en primeur, car c'est un « monument » tout-à-fait habituel mais auquel personne ne prête attention, alors qu'il est non seulement joli, mais tout-à-fait pratique, usuel, qu'on peut voir un peu partout dans le monde, en tout cas dans une partie, et dont la photo peut être très artistique, la preuve!

Ces deux poubelles ne sont pas n'importe quelles poubelles. Ce sont non seulement des poubelles typiquement madrilènes, mais en plus, ce sont des poubelles de jardin du Palace Royal de sa Majesté. D'où l'importance de cette objet de fonction publique et que je ne puis m'empêcher de te montrer, cher lecteur virtuel.

Car cela est non seulement joli, mais totalement inaperçu par les photographes artistico-touristiques qui prennent tous les mêmes photos. Les dites photos qui seront stockées par la suite, sur des CD et dans des albums familiaux pour prouver qu'on y a été et que ce sont de beaux souvenirs, lorsqu'on les ouvrira une fois tout les cent ans.

A ce propos, je ne puis m'empêcher, cher habitué virtuel, de te conseiller de faire les-dits albums, les CD n'étant pas vraiment fiables dans la durée. Ce qui me rappelle que je dois moi-même faire 3 albums en retard et que je vais peut-être profiter de l'occasion d'avoir une Wifi merdique pour commencer ce labeur qui traîne depuis le début de l'année.

Comme tout ce que j'ai commencé depuis le début 2009 et que je n'ai pas fini, consacrant mon temps avec mon site, mon magasin en ligne (heureusement que je n'ai pas fait grand chose), facebook, twitter, friendfied, dailymotion, youtube, et je crois que c'est tout, je n'ai rien foutu!

Mais je voulais écrire sur ma création du moment qui est une sorte de châle sans en être un, crocheté avec un type de ruban doux pour le noir, et bordeaux pour celui qui pique un peu, fait surprenant vu que c'est exactement le même type de matière.

Je ne peux en dire davantage, car je ne sais pas encore comment il va finir, puisqu'au départ, je ne savais pas vraiment ce que j'allais faire. Comme je ne l'ai donc pas fini, et que je ne sais pas vraiment ce que ça va donner, mais que, pour l'instant, c'est bien, et ce, sans me jeter des fleurs, mais je suis habituée à ce genre de surprises puisque je travaille toujours ainsi. La création vient en créant! C'est comme pour la faim qui vient en mangeant!

Voilà pourquoi je ne peux t'en dévoiler plus, non par peur que mon idée soit exploitée par la suite par les grandes marques de fabricants de mode, mais que j'ignore totalement moi-même le résultat final de cet ouvrage qui est encore sur le métier et que j'aurais pu finir ici, à Madrid, si je n'avais pas fait le choix d'emporter ce notebook d'une tonne à la place.

Voilà! Je crois que j'ai dit tout ce que j'avais d'intéressant et palpitant à dire et je vais m'arrêter là pour le moment, 3 albums m'attendant. A+