Merveilleuse Efez

Bonjour, cher lecteur des méandres cybernautiques, qui navigue au gré des pages sans cap précis, et qui tu tombes, par un doux hasard sur ma page blog.
Quelle chance! Car je vais te narrer mes merveilleuses vacances de septembre dans le pays qui fut autrefois ottoman. Et grec bien avant. Pourquoi ce dernier ajout? Parce que c'est en pleine région aux vestiges de la civilisation grecque que nous nous fûmes rendues.

Certes, notre parcours imaginé fut tracé préalablement depuis Istanbul (ancienne Constantinople), Izmir, Efez, Pamukkale, Canakkale (ancienne Troie) et retour Istanbul. Cela dût nous prendre dix-huit jours, nous en fîmes cinq.

Et pourquoi si peu? Car si le climat est excellent contre la sinusite et que nos naseaux furent enfin asséchés, cela a laissé la voie directe aux pollens turcs. Ces derniers étant méconnus de notre système immunitaire, ils me tourmentassent avec une rare virulence, aidés en cela par un vent marmaraéen et égéen.
Mais les pollens ne furent pas les seuls en cause.
Oh que non!
Les insecticides pulvérisés dans les chambres et les maudites climatisations des transports publiques sans compter la pollution atmosphérique me fissent goûter le confort du lit stambouliote, les draps râpeux de celui d'Izmir, et un autre matelas plus ou moins confortable d'Izmir toujours, mais sans insecticide, donc sans oedème de Quincke.

Je fis bien quelques pas dans le marché d'Izmir et je me suis quand même rendue à Efez, 35° à l'ombre, et une foule incroyable qui me permit tout de même de prendre quelques photos de ce site absolument incroyable et dont je brûle d'envie de te montrer quelques images triées sur le volet, cher lecteur. Vu que je suis en panne sèche de création de bijoux, au moins me dois-je te narrer mes vacances.

Ici, sur la 1ère image qui va apparaître je ne sais où sur ce billet de blog, un caillou où certains vandales ont gravé une tête de hibou, scandaleux! Et sur la 2ème image, un arbre grec d'origine qui se porte encore à merveille, le temps n'ayant pas marqué son emprise.
Ce qui est un pur bonheur sur ces deux photos que je partage généreusement avec toi, cher lecteur méconnu, c'est que ce sont quasiment les seules où n'apparaissent pas un pelé et un tondu.
Féérique, n'est-il point?

Toujours est-il que ce fusse les vacances les plus onéreuses de ma vie. Prendre cinq fois l'avion en cinq jours, des bus et des taxis, 3 heures de marche, 36 heures station debout, du kérosène plein les narines, mais j'ai vu Efez!!

Je dois quand même avouer que cela m'a servi de leçon. La première, c'est de partir en octobre ou novembre. Car les allergies sous les chaleurs tropicales sont absolument insupportables. La deuxième est de prendre un billet d'avion aller-retour qui coûte cent patates de moins qu'un billet aller simple. Et la troisième, la plus fatale, est que je commence à me faire un peu vieille pour faire un circuit, que mieux vaut me poser dans un coin pour une semaine et basta!

Toujours est-il que les Turcs sont toujours aussi sympas et moqueurs. Il y en a qui apprécient, d'autres pas.
Voilà mes aventures, cher surfeur des vagues électroniques. Et comme j'ai une quantité de choses à faire, je vais vaquer à mes occupations et te laisser continuer les tiennes.
A bientôt.

Tao est mort

Tao, Tao mon ami, mon tendre compagnon, mon adorable chien qui a su être si chiant à ses heures.
Tao, comment as-tu pu t'infliger cette douleur au point de te crever le seul oeil qui te restait.
J'avais bien vu que tu faisais ce matin n'était pas dans tes habitudes.
Tu es sorti, un peu grogui, du panier où je mets le vieux papier.
Tu marchais comme si tu étais ivre, mais j'ai mis ça sur le compte d'un réveil un peu dur pour toi.
Je me suis préparée, déjeuner, et je t'ai mis en laisse pour sortir.
Je t'ai fait descendre les escaliers comme d'habitude, mais tu n'arrivais pas à me satisfaire.
J'ai vu à ce moment-là, que toi, tu ne voyais plus rien. Mais tu ne t'es même pas plaint.
Nous sommes quand même aller dehors, mais à quoi bon.
Nous sommes parti tous les deux vers une destinée qui n'appartenait qu'à toi.
Je savais, mon petit Tao, que dans mes bras tu allais passer tes dernières heures.
Je t'ai demandé de ne pas m'abandonner. Je t'ai prié de rester. Tu étais encore tellement jeune.
Je t'ai pris dans mes bras et j'ai pleuré sur toi, j'ai mouillé ton pelage de mes larmes pour que tu ne partes pas.
Oh mon pauvre petit Tao. Comment aurais-tu vécu ce que l'avenir te préparait, une vie de souffrances, une vie de noir total, une vie où les bruits qui t'angoissaient auraient pris une dimension que je n'imagine pas.
Tu t'es endormi une première fois, toujours dans mes bras. Tu étais si reposé. Le temps a passé. Combien de temps, je ne sais pas, mais j'étais si bien avec toi dormant dans mes bras.
Tu avais tes petites papattes qui bougeaient, comme si tu courrais dans les bois ou dans les champs, peut-être après un papillon?
Je t'ai offert la mort, le repos, mon petit Tao.
Ton coeur s'est arrêté après l'injection létale dans ton petit coeur qui battait encore.
Courrais-tu toujours après le papillon quand ton petit coeur s'est arrêté.
Tu avais les yeux fermés quand tu dormais, pourquoi les as-tu rouverts quand la vie t'a quitté.
Mon petit Tao qui me regarde encore, avec ses yeux morts deux fois, alors que je ferme la porte avant d'avoir enfoui une dernière fois mon visage dans ton pelage.
Je suis sortie dans la rue, mon petit Tao, avec ta laisse dans ma main.
Le décor avait changé. Je ne voyais pas le paysage comme il était.
La vie n'est plus la même sans toi.
Et qui peut comprendre le chagrin que j'éprouve quand je rentre tranquillement chez moi, ta laisse à la main.
On m'a dit que j'avais fait preuve d'amour, mon petit Tao. Mais je n'imaginais pas le vide que tu allais laisser en moi. Je ne t'imaginais pas souffrir non plus, mon petit Tao.
Pardonne-moi, mon petit Tao. Mais je voulais que tu aies une vie heureuse, même si cette dernière devait s'avérer plus courte que prévue.
Tao, je suis en train d'écrire là, comme une andouille, pour te dire encore à quel point je t'aime, que tu seras toujours dans mon coeur, que nous avons vécu plus de sept merveilleuses années ensemble et je veux que ce soit ces souvenirs-là qui nous restent à tous les deux.
Je veux te dire que tu me manques déjà et que j'ai mal.
J'aimerais me dire que cela n'est qu'un mauvais rêve, que tu vas me réveiller demain matin, avec ton petit aboiement dans mon oreille.
Mon petit Tao, tu me manques déjà tellement.
Peut-on dire à un chien : je t'aime?
J'en sais rien. Je ne sais pas si c'est éthique ou non.
Qu'importe!
Je t'aime tellement mon petit Tao.
Cours après les papillons!
Je sais que tu es serein maintenant.
A tout bientôt mon petit Tao.
Je t'embrasse tendrement.

Ben flûte! Google a piqué mon widget de la boutique!!

Bonsoir cher lecteur.

Je sais, je sais, je n'écris plus avec la cadence d'antan, mais c'est faute de temps. Non pas que j'aie des choses intelligentes à dire, cela, je le fais sur les réseaux sociaux, ni que j'aie des bijoux créés récemment, car ça par contre, ça bugue cruellement, mais l'envie d'écrire un article sur mon blogue perso permet de l'animer un peu.

Parce qu'un blogue, c'est construit, réfléchi, pensé, fait pour montrer les bijoux que nous faisons, ben c'est tout simple, il n'y en a pas. Panne totale de ce côté-là!

Ce n'est pas pour autant que nous chômâmes.

En effet, après notre séjour en Israël, nous nous voilâmes reparties pour la Cappadoce, endroit wonderful (magnifique in French), située en Anatolie, contrée super-wonderful (super magnifique in French) au coeur de la Turquie.

Et nous nous en sommes psychologiquement pas revenues.

Tiens, cher lecteur, que je te fisse cadeau d'une photo (1) représentative du coin. Fameux endroit où nous fûmes en quête des hittites pendant cinq jours avant de nous rendre compte que nous y fûmes en plein coeur.

Photo 1


Je mets hittites en lien afin que tu puisses te documenter sur cette population incroyable qui vécusse dans les montagnes. http://pagesperso-orange.fr/miltiade/hittites.htm


Nous rentrâmes donc la mort dans l'âme et nous décidâmes de repartir pour Athènes, au Pirée plus exactement, afin de retrouver ce dépaysement qui nous eûmes tant plu.

Nous eûmes des températures de mois d'août, alors qu'internet nous eutes informées que les températures pour le mois de juin se situaient en moyenne à 25°. 35° fusse le degré celcius exact pour la petite semaine que nous eûmes passée là. Juste de quoi avoir un jour le courage d'aller voir le Parthénon et environs avant de rentrer fissa fissa à l'hôtel, insolation en prime.

Bref, une petite photo (2) pour une petite mise en bouche.

Photo 2


Mais là n'est pas l'objet de ce billet!

Oh que non!

Et là, je dois laisser éclater ma colère contre une nouvelle initiative de l'UDC, parti populiste de notre beau pays.

L'objet de cette initiative??

Non, non! Rien à voir avec les minarets ou la burka!

«l'UDC propose ni plus ni moins que la troisième piste des autoroutes soit réservée aux VIP, en plus des ambulances, des pompiers et de la police, bien évidement! Sans compter que cette voie est à l'origine faite aussi pour les véhicules tombés en panne, mais ça, c'est accessoire, ces derniers n'auront qu'à se foutre dans le ravin si ils ne veulent pas se faire cartonner par un véhicule, allemand de préférence, lancé à 120km/h»

http://www.lematin.ch/actu/suisse/voie-riches-291867

Et pourquoi ce privilège?? Hein?

Parce que ça, c'est quand même la meilleure de l'année:

«Car les VIP paient plus d'impôts pour les autoroutes que le simple citoyen lambda».

Alors là, les grands intellectuels de l'UDC ont: ou la mémoire courte, ou sont complètement déconnectés de la réalité.

C'est pourquoi je me dois de faire un petit récapitulatif pour ces gens afin que leurs méninges se retransmettent les informations correctes et que leurs neurones cherchent autre chose à se mettre pour activer l'électricité de leurs neurones qui visiblement ont légèrement disjonctés.

1- Les routes et autoroutes sont payées avec les taxes essence

2- Les autoroutes sont payées à raison de quarante francs (si elle n'a pas augmenté depuis) par tous les pelés et tondus qui empruntent ces voies d'accès.

3- Les taxes poids lourds financent, elles aussi, les routes et autoroutes de nos wonderful (magnifiques en suisse-romand) contrées.

4- Les impôts annuels sont basés sur la cylindrée des véhicules. Cela veut dire que plus le véhicule est puissant, plus la taxe sera lourde. Mais il y a disparité entre cantons. On paie plus d'impôts sur Vaud qu'en Valais par exemple.


Ainsi, une Smart sera moins taxée qu'une BMW 78000 XXL.

5- Les riches citoyens de Suisse résident dans des communes ou des cantons choisis souvent en fonction du taux d'imposition. Ainsi, on verra moins de VIP dans les zones urbaines où le taux d'imposition peut être assez élevé que dans des communes dites riches au taux d'imposition assez bas.

Le cas est particulièrement frappant à Zoug, petit paradis fiscal de Suisse, et dont les citoyens bénéficient des infrastructures scolaires de St.Gall où le taux d'imposition est plus élevé. On n'est pas riche pour rien!

Il y en a certainement d'autres que j'oublie, mais comme à chaque fois je me fais traitée de sale gauchiste soixante-huitarde alors que je n'ai connu cette époque que quand je jouais au château de sable sur la plage et que les pavés que je trouvais ne faisaient office que de barrage contre les vagues créées par les bateaux de la CGN...

Bref, quand je vois des initiatives lancées comme ça, myself (moi in french) vais plutôt aller m'acheter une burka!!

Et tant pis pour les libéraux proches de l'UDC, parti proche du peuple, se nomme-t'il!

Ben voilà!


Je me suis défoulée!


Bien que je sois complètement désorientée avec ce nouveau système de blogue qui change tous les deux mois, uniquement pour agiter l'hippopotalamus, I think!

Et d'après le message d'erreur que je vois...

A+ cher lecteur.

Commencent à me tuer ces nouveautés informatiques!!

Rivière de nacre naturelle

Bonjour cher lecteur virtuel.

Comme tu peux le redouter, je suis toujours en contact avec mon blog; certes pas avec autant d'assiduité que j'avais à mes début de bloggueuse débutante, lorsque que google mettait encore au point son software, mais je suis là!
Et je m'adapte.
Il semblerait que les emplacements de photos soient un peu plus maîtrisable, mais je n'ai pas encore mis les autres et c'est peut-être à ce moment-là que je vais me marrer.
Mais j'ai encore quelques lignes à écrire avant de faire la manip que je redoute déjà!
Comme de toute façon, la prévisualisation ne correspond de toute façon pas au final...
Bref, revenons à cette beauté qu'est ce collier que je vais mettre en vente tout prochainement sur mon petit magasin virtuel, petit magasin auquel je suis affiliée depuis ses débuts et qui lui aussi, a changé de configuration.
Je me permets, dans ces cas qui me tuent car ces updates sont certes des améliorations des plate-formes que nous utilisons tous les jours, de me vanter de l'élasticité de mon cerveau qui suit l'informatique depuis 1987, ce qui ne me rajeunis pas.
Et oui, finis le MS-DOS et les débuts de Windows! Finis les connexions analogiques qui nous permettaient de manger et de tricoter un pull lorsque nous cherchions une page internet!
Nous sommes tous connectés ADSL et nous n'avons plus une minute à nous!
Encore ce matin, un update, seul moment où nous pouvons bénéficier d'un peu de temps, pour aller vite photographier le collier que j'ai posé en début de mon blog.
Peut-être faut-il que je parlasse un peu de ce ravissant tour de cou que tout le monde a envie de s'arracher, et je comprends, moi-même devant réfléchir si je le garde ou si je le mets en vente.
Parlons de ce magnifique ouvrage que je fisse pendants les épisodes des "experts" mais je ne me souviens plus si c'était ceux de Manhattan, de Miami ou de Las Vegas. A moins que ce soit "NCIS" de Washington ou de Los Angeles. Bref, une de ces séries qui ont l'avantage de nous laisser faire autre chose, pas comme le "Dr.House" dont je ne rate pas un épisode. Là, pas question de me mettre à l'ouvrage. Même si j'ai vu l'épisode 36'000 fois, je ne m'en lasse pas.
Ce collier est composé de pastilles de nacre naturelle, pastilles séparée entre elles par une petite perle plaquée argent. 4 rangées de pastilles, chacune différentes l'une de l'autre. Les rangées, pas les pastilles!
Pour celui ou celle qui ne sait pas ce qu'est le nacre naturel, je ferai une brève synthèse explicative: le nacre naturelle est le coquillage naturel qu'un mollusque se fait pour éviter les méchantes attaques naturelles du lac, de la mer ou de l'océan qui l'héberge. Il est vrai qu'il n'avait pas prévu que l'homme en serait friant et de ce fait, nous pouvons bénéficier du boulot qu'il a fait pour en faire des perles de beauté assez rare.
Ce qui me fait penser qu'en Mer Morte, je n'ai trouvé aucune trace de ces mollusques. Ce que je peux comprendre. En effet, ayant le privilège d'avoir pu me baigner dans cette mer d'huile, je me dois de relater une petite aventure sans aucune importance, mais qui peut servir à tous lecteurs de ce blog d'une intelligence rare.
Il vous faut savoir, cher lecteur, que les Israëliens ont mis un panneau de prévention pour que les baigneurs ne fassent pas le crowl. Nage que je n'ai d'ailleurs jamais réussi à comprendre dans le mode de respiration, ceci après maintes leçons. En fait, ce n'est pas de crowl qui s'agit! Il faut s'assoir dans la mer et non pas se retourner! Erreur terrible que j'ai faite et je peux te dire, cher lecteur, que ce fusse assez angoissant, d'autant plus qu'il est quasiment impossible de se retourner. Il va de soi que je bus la tasse, pour épicer le tout, et que ce n'est qu'en rampant que je pusse sortir de cette mer surprenante. Le sel aussi! Et tenace dans la bouche!
Je ne puis m'empêcher d'aller quérir une photo que je vais mettre sur ce billet, en espérant qu'elle ne va pas se foutre n'importe où. Sauvegarde!

Bien joué! La v'là, la mer morte.
Beau hein?
Pour celles et ceux qui aiment les plages, juste en rajouter une...Je sens que je vais faire des envieuses :-))

Ca, c'est la plage de Tel Aviv! Alors, ça ne se voit pas, mais le sable est d'un fin!! Pour une dorade d'une heure ou deux, un vrai régal. Mieux que les matelas d'hôtel. D'où un endormissement immédiat sous le soleil israëlien qui est aussi méchant qu'ailleurs, au vu des coups de soleil que je me suis payés! Même fin février!
Comme je dois me préparer pour aller promener mes chiens, cher lecteur, je me dois de te laisser en compagnie de ces photos qui ont été prises par 27° alors qu'actuellement, je dois m'habiller ainsi qu'habiller mon con de chien avec un manteau spécial, car aujourd'hui, bien qu'il fasse plus chaud que ces derniers jours, il neige!
Donc je vais te laisser sur ces photos de toute beauté et qui le doivent aux qualités professionnelles de celle qui les a prises, c'est-à-dire, moi-même.
Bon, c'est pas tout ça, mais à plus, hein?!

Oh neige immaculée!

Oh neige immaculée qui en tombant
Ne ravit que les enfants
Et rend ainsi rues et trottoirs glissants

En cet hiver hyper froid
Ne te rends-tu pas compte que tu remplis les gens d'effroi
Et que les voiries des villes et des cités
Sortent leurs engins adaptés
Tonnes de sel à bord chargés
Pour être sur tous les accès déversé

Pauvres contribuables
Ne sentez-vous pas coupables
Que votre argent va être utilisé
Pour que vous puissiez marcher ou rouler
Sur les macadams mouillés et salés
Qui ne servira qu'à ne point glisser
Et que d'accidents ainsi évités

Mais que de pattes de chiens blessées
Que de carrosseries attaquées
Que de chaussures en cuir ou daim abîmées
Que de neige salie et d'eaux usées
Qui dans les lacs ou nappes phréatiques vont se déverser
Et ainsi bien les polluer

Il y a encore les chemins des forêts qui sont épargnés
Et où avec un certain déplaisir nous pouvons encore glisser
Faire des pirouettes à faire pâlir d'envie
Des patineurs confirmés qui s'entraînent toute leur vie
Même si la chute n'est pas encore vraiment contrôlée
Et qu'elle nécessite encore d'être travaillée
Quelque col du fémur ou bras cassé
Quelques ligaments déchirés
Quelques vêtements arrachés

Et de retour à la maison nous ne pouvons faire que le constat
De se dévêtir tant bien que mal et d'évaluer les dégats
Et c'est toute courbaturée
Qu'au moyen d'une patte mouillée
Je nettoie les coussinets des mes chiens tout salés
Que j'essaie de nettoyer
Ma grande doudoune toute dégueulassée
Que je contemple mes genoux bleutés
Que je panse mes orteils gelés

Oh neige immaculée qui en tombant
Ne fait la joie que des enfants
Ne peux-tu tomber que la nuit
Et rester à 1000 mètres te suffit
Afin que ceux qui vivent en plaine
Ne souffrent d'aucune peine!
Car quel plaisir tu as
A tomber si bas
Hein, dis-moi!
Haha, tu reste quoi
Bien fait pour toi!

(Bon, je sais que la fin laisse à désirer
Mais il me faut téléphoner
Afin de me renseigner
Si je peux me faire rembourser
Un truc que j'ai payé
Alors je vais te laisser
Cher lecteur médusé
Par mon art ici confirmé)

C'est Noël

Joyeux Noël, cher lecteur, et c'est par cette journée exceptionnelle que je te fais l'immense honneur d'écrire un article sur mon blog perso afin de te relater les dernières nouvelles du front.

Car si je ne m'exprime guerre ces derniers temps, sur ce blogue, cela va sans dire, ce n'est point pour autant que je restasse inactive et que ma créativité restasse en berne. Non non. Je créasse.

J'eusse même mis un certain temps pour imaginer un style de mode qui allait révolutionner le combat contre les terribles morsures de l'hiver. Et mes petites mains ne se désactivassèrent pas à tricoter, tricoter, tricoter ce fameux pull que je ne puisse montrer en photo ici, présentement. Et pour la bonne raison qu'à l'heure qu'il est, il doit être dans un des camions-bennes qui ramassent les ordures, sillonnant gaiment la ville ce matin.

L'idée était bonne, la laine jolie quoiqu'irrécupérable, mais visiblement, la magie n'a pas fonctionné.

Ooohh je vous passe les railleries des mes deux critiques en qui j'ai pourtant toute confiance et qui ont quand même pris des gants pour me dire que ça n'allait pas. Dire est un bien grand mot. Z'ont tellement eu la trouille qu'ils ne se sont exprimés que par grimaces et fous rires contenus. C'est moi qui ai du dire les termes adéquats pour qu'ils osent avouer que ce fût le massacre le plus total. Et voilà-t'il pas que, devant ma mine déconfite, et il y avait quand même de quoi, j'ai encore de la corne aux doigts, qu'ils se mettent à vouloir me consoler. Affligeant!

Plus affligeant encore lorsque l'un des deux me propose de le mettre sur ebay, dans la rubrique : costumes de Carnaval. Bas!

C'est pourquoi, cher internaute, afin de ne pas devenir la risée internationale, et ce, bien que d'autres, plus connus que moi pourraient me ravir le flambeau, je décidasse de ne pas immortaliser cette débâcle dont je fusse la conceptrice.

Mais comme je n'ai point l'habitude de ne pas faire de billet sans y joindre une photo, je me permets d'y coller celle-là, qui représente le nouveau mobile LG KM900 Arena, Life's Good, pour celui ou celle qui sait l'utiliser.

Et pourquoi cette photo, hein?! J'y arrive!

Ce fusse par un jour merdique, hier ou avant-hier, alors que je me promenais par la ville, j'entrisse dans mon magasin de l'opérateur où j'ai ma TV, ADSL 20'000, téléphonie fixe illimitée et mobile, pour zyeuter les nouvelles nouveautés.

Quand à la question, « que recherchez-vous? » me fut posée, question à laquelle je répondis du tac-o-tac « j'en sais rien » mais pas un Apple, car je suis en guerre avec Apple et ce, depuis la nuit des temps, mais ça, tout le monde s'en fout et pourtant je ne suis pas à court d'arguments, je m'entendis dire, par ce conseiller à la noix et ce, avec un certain aplomb, enfin non, je crois que c'est moi qui avais l'aplomb, mais ça, ce n'est pas grave non plus, attention les vélos : « vous me facilitez pas la tâche » qu'il me dit, le mec. Je suis restée stoïque et je me retrouvais ainsi avec ce type d'appareil, qui n'est autre qu'un « androïde » avec appareil de photo 5 mégapixels, caméra, baladeur, radio, dictaphone, télévision 30 channels, internet, GPS, et, cerise sur le gâteau, téléphone! Manque plus que le briquet et il serait au top.

Alors bon, j'ai pu regarder et tester pour l'instant, le KM900, Arena un petit peu et le Life's Good pas encore.

Ainsi, sur ces belles paroles, cher internaute, je te souhaite de toutes belles fêtes de fin d'année, quant à moi, je vais ouvrir tous les cadeaux que j'ai reçus sur facebook. Me réjouis, tiens!

Billet d'humeur...(sans photo)

Ou les espiègleries hypocrites de l'Etat souverain.


Le paquet de cigarette est à 7.00 frs. Et que je vais me faire un petit calcul approximatif car il serait bien d'avoir les chiffres officiels. Mais extrapolons!

Pour un pays de 8 millions d'habitants, je suis gentille, je prends seulement le 15% de ce 8 millions qui nous font : 1'200'000 fumeurs à 1 paquet par jour.

Sur ce paquet par jour à 7.00 frs, env. 3.00 frs vont à l'état. nous arrivons à 3 x 365 = 1'095.00 frs par an et par amateur d'herbe à Nicot.

Les 4.00 frs autres vont aux entreprises de tabac, de l'agriculteur au vendeur. Soit pour un petit pays comme la Suisse, 4 x 365 = 1'460.00 x 1'200'000 = 17'520'000.00 frs annuels (11,628,603.99 €) pour toute une économie.

L'état perçoit donc environ : 13'140'000.00 frs annuels (873.708.937,10 €) qui seront versés pour une infime partie à des affiches dissuasives mais pas trop, et le reste à l'assurance vieillesse, c'est-à-dire la rente des gens à la retraite.

(J'étais au courant que l'euro avait baissé, mais pas tant que ça!)

Sachant que ceux qui vont être à la retraite ne seront pas ceux qui auront fumé comme des pompiers, ce sont les fumeurs proscrits qui vont se goudronner leurs poumons afin d'offrir un pont d'or pour ceux qui n'auront pas tiré une taffe.

Comme la population européenne vieillit (évidemment, il y a moins de fumeurs et de plus en plus de non-fumeurs), l'état a tout intérêt d'augmenter petit-à-petit le prix du paquet afin de ne pas choquer les consommateurs de tabac et que ces derniers soient tous disposés à poser leur briquet et faire la grève de la nicotine.

Non non! Moins il y a de fumeurs, plus on augmente le prix du paquet. Le but étant de fixer le prix à 10 balles ces prochaines années.

Plus rigolo, le fumeur coûte moins que ce que l'on pense à l'assurance maladie, donc le porte-monnaie des assurés est à l'abri. En effet, on ne peut mettre d'implant à un fumeur, mauvaise combinaison! Sachant le prix d'un implant, beaucoup peuvent se sentir soulagé!

A l'heure actuelle, tous les endroits publics sont interdits de fumée. Ce qui n'est pas un mal en soit pour des lieux comme le bus, l'avion, etc (la belle vie quoi!) Il est vrai aussi qu'il est préférable de sentir le poisson, la fondue ou la friture lorsqu'on sort du bistrot que celui qui est dehors, en train de fumer sa clope tranquille aux abords dudit restaurant, en train de se peler de froid. Mais l'avantage est que les proscrits se rencontrent autour du cendrier extérieur et font connaissance alors qu'ils ne se seraient jamais adressé la parole si ils avaient fumé à l'intérieur dudit bistrot qui pue le poisson, la friture ou la fondue! Pour cela, un tout grand merci de nous refaire redécouvrir un sentiment de solidarité (purée, j'en avais même oublié le mot!) Oui. Merci!

Mais que les commandos-anti-tabac commencent à agresser le fumeur jusque dans la rue, alors que les véhicules polluent tout autant voir plus, (ils ont plus de chevaux) tient de la fumisterie!!

Pour cette raison, je rejoins Diabolo sur http://cartesiens.ning.com/ ! Créons : Ne tirez plus sur les fumeurs ou votre retraite partira en fumée!