mercredi 31 décembre 2008

Poême dédié aux victimes du 27 au 29 déc.2008

Nous ne voulons pas de cette paix
Tendue sur vos mains de cambouis
Nous cherchons la fraternité
Et vous des diamants dans les puits
Enchaînant certains,
Engrangeant vos biens,
Encensant les vôtres,
Humiliant les nôtres.
Misant notre vie sur notre apparence
Dans nos habits et nos flagrances.
Grâce à vos écarlates insignes
C'est vous qui tirez les lignes
Grâce à notre manque d'amour
Nous sommes 1,2, 100, des milliards
Qui réinventons la vie de chaque jour.
Sans vos décors de cinéma
Nous parlons une langue du futur
Par nostalgie pour le passé.
Nous avons la justice ancrée
Dans un chromosome taré.
Poête tu as dit :"on est tous des déracinés".
Alors pourquoi ces arbres calcinés?
Les vivants en les serrant dans bras
Pleurent une toute dernière fois.
Et vous les assassins, si demain,
Vos arbres vous pleurent en caressant
Vos mortelles blessures.
Serait-ce la denière fois?
Auront-ils encore des larmes pour une autre fois?

Dédié aux victimes du 27 au 29 décembre 2008

Poême

Il y a très longtemps j'avais l'habitude
de m'ébrouer dans un champ plein de quiétude
Là, couchée sur l'herbe tendre, scrutant
L'au-delà je tétais la lavande
Quand les oiseaux s'étaient tus un moment
je plongeais dans mes questionnements
Puis, habillés de blouses blanches,
comme celles qu'ont les jeunes filles travaillant dans
des salons de coiffure, des petits anges
venaient s'amuser près de moi.
Je leur demandais :
"Qu'est-ce que c'est la vie? qu'est-ce que c'est la mort?"
Et eux riaient, riaient en secouant
leur boucles, certaines tombant sur leurs yeux.
A cet instant un air de jeunes mafieux
passait sur leurs visages.
Ils retournaient à leurs jeux,
batifolant sans problème.
Je les appelais : " Ne me laissez pas sans réponse!"
Et dans leurs éclats de rire, j'ai cru
entendre un petit gringalet siffloter.
Une petite voix faisait écho à sa musique
chuchotant que la grande imposture,
c'est que l'Autre n'a jamais existé.

dimanche 28 décembre 2008

La fin des fins...


Mais non, pas la fin du blog! N'aie pas cette joie, cher provider!
Et cela attristerait moulte non-lecteurs de ce rare blog interressant et francophone.
Car je me suis mise dans un groupe de bloggueurs pour ne pas être seule et je suis encore plus seule qu'avant. C'est bibi qui y ait mis le dernier message.
Alors, je me drape de ma solitude, car je préfère être seule toute seule, que seule à plusieur.
Toujours est-il que j'ai enfin fini mes albums sur Alep, hier! Et je suis contente. Ravie. Car, comme je vais bientôt repartir, si tout va bien, fin janvier, il me fallait quand même être à jour avec mes albums et cela faisait deux mois que je traînais sur Alep, alors!
Tu me demanderas donc, cher lecteur, mais qu'est-ce cette photo affichée au haut de ton message?!
Ce à quoi, je te répondrai que ce fût dans l'ancien hôpital psychiatrique d'Alep, maintenant transformé en musée où ces figurines grandeur nature humaine remplacent les déjantés de l'époque.
Et, la malheureuse qui est couchée sur la table, ben c'est moi, hier, (mais sans le grand médecin,) après avoir bousillé ma connexion internet en voulant télécharger un clip YouTube sur une de mes pages d'un de mes networks hier, événement douloureux qui se passât, for heureusement, une demie-heure après avoir envoyé mes photos au labo virtuel.
J'ai frôlé la cataplexie!
Alors, alors que les techniciens de mon opérateur rétablirent la connexion depuis chez eux, j'allâs promener mes deux monstres en ville, chercher des crochets pour rideaux de cuisine, vu qu'il y a peu, on nous a changer les vitrages pour en mettre des isolants...., mais on s'en fout.
Je revins et Internet fonctionnât à nouveau. Que du bonheur!
Je tentâs de transférer le YouTube, mais sur les messageries, mais je ne réussissâs que m'envoyer le lien.
Non, décidemment, il y a des choses que je ne maîtrise point et je me dois de l'accepter!
Je ne peux tout de même pas solliciter les techniciens à tous moments. Je maîtrise déjà pas mal de mon côté pour rétablir la connexion, mais quand je fais tout pêter de l'autre côté...
Déjà qu'on me reproche des fautes de syntaxe sur certaine page, je ne suis pas loin de souffrir du syndrôme de Calimero, ce dont je ne souffrirai point! Je suis droite comme un bambou s'élevant haut et fier dans le ciel, et comme lui, je plie mais ne romps point. M'en faudra plus!
Comme un YouTube qui bloque mon transfert de photos, par exemple! Ca, j'ai vu la mort de près.
Bon, je te laisse, cher lecteur virtuel, car je me dois d'aller me préparer
Afin dêtre prète pour ne pas rater
Le rare bus qui va nous emmener
Vers les bois pour nous y promener.
Et à la buvette nous arrêter
Un moment pur y boire un café
Puis nous en retrourner
Et jusque chez nous rentrer à pieds
Car comme d'habitude nous aurons raté
le rare bus qui nous aurait ramenées.
Bon, c'est pas du Ghislaine, mais tant de beauté m'émeut quand même.
A+

mercredi 24 décembre 2008

Un poême Geneghis

Il y a des coeurs en pleurs
Il y a des coeurs qui ont peur
Il y a des coeurs qui demeurent
Ouverts aux leurs
Il y a des coeurs en fleurs
Il y a des coeurs qui sont chaleur
Et qui remplissent beaucoup de coeurs
Il y a des coeurs qui sont malheur
Il y a des coeurs qui se leurrent
Il y a des coeurs qui se meurent
Il y a des coeurs dans les coeurs
Et il y a tous ces coeurs sans coeurs
Que se transforme cette douleur
Afin d'aller en choeur
Sur un chemin...Rêveurs
Il y a des coeurs à la hauteur de leur ardeur
Et même quand ils partent pour un monde meilleur
On entendra encore longtemps battre leurs coeurs dans nos coeurs.

mardi 23 décembre 2008

Vision de ma création pas encore brevetée, mais faut des sous pour ça.

Bonsoir cher lecteur virtuel.
Voilà l'objet une fois porté de différentes façons. Cette fameuse invention dont je t'ai parlé dans le billet précédent, crois-je!
N'est-ce point du pur génie!
Trois, voire quatre objets en un.
Et, ce que l'on ne voit pas, c'est qu'il y a un trou entre la laine poilue orange et celle qui est brune, et ce, pour les fumeurs.
C'est en me balladant en forêt, avec mes deux monstres que l'idée a germé dans mon esprit créatif. C'est surtout quand la neige accumulée...Mais n'ai-je donc point déjà raconté cette histoire sur un billet précédent?
Il me semble. Donc je vais stopper là l'historique de cette douce, très douce merveille et me reste plus qu'à la breveter. Mais, obtenir un brevet coûte. Alors, d'accord pour payer 2 patates pour un brevet, mais à quoi va-t'il me servir si je ne construis pas l'usine à faire uniquement ce truc original et unique?!
Et le sera-t'il encore, original et unique, si j'en fais des milliers d'exemplaires, hein?!
Bon, je veux bien aller essayer de frapper à la porte du mécène Madoff, mais je crois que je vais avoir un peu de peine à l'approcher ces temps.
Et puis bon, c'est quand même la crise et peu de personne vont trouver ces pelochons crédibles en plein réchauffement climatique!
Ah, quel dilemme! (là, j'avoue que j'ai un doute sur l'ortographe...de dilemme. Et comme j'ai une flemme phénoménale de chausser mes lorgnons et d'aller chercher dans ce dictionnaire qui pèse trois tonnes au bas mot...)
Non! Maintenant, comme en tout temps de crise incroyable, c'est dans l'armement qu'il faut se recycler. Hitler l'avait fait pour remonter l'économie de l'Allemagne entre deux guerres, et ça a marché. Une Allemagne en ruine est devenue une Allemagne prospère avec plein de petits nazis partout. Mais ne remuons pas le couteau dans la plaie envers nos amis allemands qui ont bien payé leur erreur!
D'ailleurs maintenant, on refait la même chose. Et qu'on se fasse des petits contrats d'armement par-ci, par-là, afin de redynamiser une économie qui, avouons-le, est un peu en berne en ce moment.
Mais pas en ce qui concerne les armes...que non! Quelques petits milliards parsemés dans des pays en paix pour armer les concitoyens et donner du travail aux fournisseurs, qui donneront du travail aux ouvriers, qui seront tout contents car ils toucheront salaires et qui pourront manger à leur faim et qui pourront payer leurs impôts dont une partie ira pour l'armée et le tour est joué!
Alors moi, avec mon bonnet-col-pelochon, j'ai qu'à aller voir chez les esquimaux!
J'aurais plus de succès avec une serbe à canne. Canne à sucre évidemment. Celle plantée au Brézil à la place de la jungle amazonnienne. Mais là, je commence à me perdre. Et c'était juste pour te distraire, cher lecteur cybernétique, car je ne sais pas du tout comment on écrit serbe à canne. Et là, comme c'est écrit, j'ai la vague impression qu'on puisse interprêter ce mot différemment.
Bon, sur ce billet oh combien et à nouveau hyper interressant, à croire que je ne sais faire que ça, je m'en vais te laisser, cher lecteur, car ma messagerie déborde et je n'ose aller consulter l'autre!
Sans compter Orkut, mais là, je gère plus!
A+
Et joyeux Noël avec de beaux sapins et de belles bougies.
Et n'oublie pas que, suivant le type de sapin que tu as exécuté, celui-ci doit être dans un endroit hyper ventilé, car s'il sêche, il peut accumuler des gaz inflammables incroyables, qui te distroyent ton appart en cinq minutes, montre en main. Alors, avec ma clope qui tombe dans le lit, c'est de la rigolade à côté!
Bon, je me tire.
Ciao







jeudi 18 décembre 2008

encore un badge

Hé oui, je suis polyvalente

Une grande beauté

Bonjour cher lecteur,

Et je ne puis me retenir de te faire partager ce que je viens de créer et qui est de toute grande beauté.
J'ai fait deux prises de vue afin que l'on voie mieux de quoi il s'agit.
Car, en effet, et ce, on le remarque de suite, c'est un col écharpe double face que j'ai tricoté. D'ailleurs, on voit bien le trou dans la partie orangée.
Certes, cela sera plus compréhensible une fois porté, mais avant de solliciter mon top modèle, je te montre cet accessoire de toute... beauté. Je ne trouve point d'autre mot pour qualifier cette merveille tricotée de mes propres mains.
Et, crois-le ou non, il fait col, bonnet, et cache-main si on le porte devant soi, comme au temps des tsars.
Pelochon, quoi!
L'astuce suprême est le noeud que l'on distingue très bien sur les photos, c'est d'ailleurs pour cela que j'en ai pris deux, pour bien montrer ce noeud qui sépare magiquement la saloperie de fil poilu orange de l'autre foutu fil poilu brun.
Tu le vois? Il est pile poil au milieu, le noeud!
D'ailleurs, je me demande même pourquoi je pose la question. Ne pas le voir signifierait, à mes yeux, de la plus mauvaise volonté, et cela est impardonnable! Ou que comme moi, il y a besoin de lunettes, et là, je peux comprendre. Limite, mais je peux.
C'est vrai quoi! Si on voit le trou, on voit le noeud dessous.
Au-dessus de la partie brune, quoi!
Oh et je ne vois pas pourquoi j'insiste car là, je parle d'un problème minime, quoiqu'ayant tout son charme, et j'en oublie l'essence même de ce message.
C'est un article d'hiver, mais d'un hiver dans la partie supérieure de la planète, dans les pays qui sont en dessous du pôle nord, quoi! Car il est chaud. Cet accessoire...pas l'hiver! Et c'est le but...que cet accessoire soit chaud.
C'est la neige et le vent froid de ces derniers jours qui m'ont inspirée. Et pourquoi fûs-je inspirée ainsi? C'est que je promène les chiens, longtemps, dans la forêt, où le paysage est magiquement blanc et silencieux. Il n'y a que le bruit de nos pas qui crissent dans la neige...qu'un bruit de chute, parfois, qui trouble ce moment enchanteur, (ce n'est rien, juste que Ghislaine a encore glissé et tombé, créant une mini baignoire dans ce champs de neige immaculée), les arbres offrant leurs branches comme assises pour cette couverture blanche et glaciale...cèdant parfois sous le poids de ces flocons trop accumulés, qui vont alors se loger entre le col et le bonnet, nous offrant ainsi, généreusement, une sensation glaciale dans la nuque, difficile à chasser et qui fond dans la chaleur abondante de notre corps déjà meurtri par le vent glacial. Ce vent glacial qui nous gerce les lèvres, qui pénètre dans les oreilles, le col, les mains, les pieds...Non, ça, c'est plutôt cette foutue neige magique que tout le monde adore pour avoir un Noël blanc! Peuvent pas aller en montagne pour profiter de ce foutu blanc manteau?
Que c'est beau la nature!
Voilà pourquoi, j'ai inventé un accessoire génial qui nous protégera des sévices du froid. Il y a même un trou pour pouvoir fumer, pas beau ça?!
Bon, je crois que j'ai un peu tout dit sur cette pure merveille et dès que j'ai fait les photos avec mon ange de modèle, tu te ficheras un peu moins de moi.
D'ailleurs, je me demande même si je ne vais pas le faire brêveter. C'estdu génie à l'état brut!
J'ai même pas besoin de ton avis cher lecteur, je suis sûre de mon coup. Et rira bien qui rira le dernier.
C'est midi et je dois te laisser cher lecteur, contempler à la guise, cette jolie invention.
A+

lundi 15 décembre 2008

Le retour Xième


Alala cher lecteur virtuel...une pêche d'enfer.

Je sais, je sais, mais je t'y ai collé quelques badges quand même. Pour voir que je ne chômais pas pendant mon absence. D'ailleurs, c'était à titre d'exercice. J'avais des badges, fallait bien que je les envoie quelque part. Et comme il n'y avait que l'icône blogger sur le RSS, je me les suis envoyés. Je me suis dit que cela te tiendra compagnie...Et que tu pouvais aussi admirer ma maîtrise en anglais.


Bref, j'ai été lue et quel bonheur! EMUE! que je suis.


Ainsi, n'écrivis-je point pour rien. Quelqu'une, à l'autre bout de la planète m'a lue. C'est là que c'est beau, l'informatique. Mon voisin de palier ne sais pas que j'écris et c'est sur un autre continent qu'on me lit!


Mais cessons de bavarder sur les miracles virtuels et venons-en au fait : ma dernière création. Je sais, c'est pas évident de voir ce que c'est et c'est pourquoi je vais ajouter une deuxième photo de cet article afin d'en faciliter la compréhension. Alors attention les vélos...voir où cette foutue image va encore gicler.

Je l'ai mise là! On comprend tout de suite mieux!

C'est en effet un boa de 2m70 de long fait avec du fil à tricoter fantaisie poilue...qui m'a donné du fil à retordre, et c'est peu dire. Donc, avec quelques pelotes de ce fil poilu brun, je me mis à crocheter ce boa qui ne fût point un tel boa dans mon idée. Mais comme je n'avais point chaussé mes lunettes, et que le fil est brun, et qu'il a plein plein plein de petits poils, je n'y voyais que dalle. D'où ce charmant tournicoti-tournicoton. Et j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois, quand un tournicoti était trop proche du tournicoton suivant.

On peut en voir la longueur et le travail par rapport au buste blanc bien voyant qui trône au milieu du haut du boa. Tu vois?

Je sais, je sais. Quand je le mettrai autour du coup de mon top modèle, tu verras qu'il en jette, ce fruit du hasard! Mais là, il faut que je te laisse, cher lecteur, car je n'ai pas encore fini de répondre à tous les messages que j'ai reçus des networks et j'en ai encore pour un moment.

Alors, à+

samedi 13 décembre 2008

vendredi 12 décembre 2008

Mon 1er groupe


Bonsoir, cher lecteur.
Et ne rêve pas, il est déjà vendu!
Je l'ai à peine fini
Qu'il est déjà parti.
Je le garde encore un peu,
Afin de l'avoir encore sous mes yeux.
Car il va me quitter,
Pour aller se montrer.
Autour d'un cou il va briller,
Et plus d'une qu'il en fera craquer.
Oh, il ne fût pas facile,
De jongler avec les fils.
Car les perles d'or sont de mains faites
Et je n'en fûs pas à la fête.
Même endormie je les pondis
Et le lendemain, parterre, un tas gît.
Puis ce fût les perles qu'il a fallût choisir
Afin que toutes je pûs les assortir.
Mais qu'est-ce cette odeur qui vient à mon nez?!
N'est-ce point mon gâteau aux pommes qui est en train de brûler?
Je te laisse.
A+

lundi 8 décembre 2008

Je ne sais plus où donner de la tête



Bonjour cher lecteur,

Et j'ai enfin trouvé comment règler mon curseur. Il est tout sage maintenant, et c'est un régal de pouvoir écrire sans toujours mettre ses lorgnons pour détecter où cette foutue petite barre a été se cacher.

De plus, je sais, je t'ai beaucoup laissé. Mais c'est que je dois entretenir plusieurs networks, j'ai un facebook dont je ne sais que faire, j'ai aussi orkut pour pouvoir dialoguer avec des personnes qui ne correspondent qu'au travers de ce type de programme et dont je ne sais que faire non plus. A part, peut-être, mettre de nouveaux articles qui ne paraîtront pas sur Dawanda afin que je puisse les mettre sur Style-hive, un autre machin où on peut vendre des objets, mais tout est en anglais, donc deux fois plus difficile à comprendre...

Je perds un peu la tête. Sans compter que je dois continuer à créer et c'est sans compter les 555 photos que j'ai prises avant hier et que j'ai dû trier. De plus, elles sont quasiment toutes réussies, du fait que j'ai compris mon appareil photo!

Juste un petit mot sur ce ravissant collier fait de corail, de nacre, de bois et d'intercalaires en bronze. Un effet boeuf mais dont personne ne se rendait compte quand il était simplement photographié sur le buste. Là, avec mon modèle, il en jette.

Toujours est-il que j'ai fait la demande pour faire partie de groupes de blogs et que je n'ai toujours pas de réponse.

Donc, toujours aussî seule! Seule sur cette toile infinie, où mes écrits se perdent à jamais dans cet univers virtuel aussi vaste que la galaxie. Un petit satellite qui ne sert strictement à rien, qui navigue sans but dans les méandres des serveurs mondiaux, cheminant dans quelques fibres optiques, à la recherche de je ne sais quoi! Un message comme une bouteille à la mer.

J'ai dû merder quelque part. Faut que j'aille voir ce qui se passe.

A+

mercredi 3 décembre 2008

Un petit coucou en vitesse



Salut, cher lecteur.

Un peu stress, mais je prends un petit moment pour te prouver que je ne t'ai pas oublié, mais j'ai beaucoup bossé. On peut même dire que je suis complètement submergée et que j'ai la déprime de ne pouvoir arriver à mes fins.

La preuve? As-tu seulement regardé que j'ai rajouté deux badges sur mon blog?! Tu cliques dessus et hop, tu te retrouves dans un petit monde où j'ai créé ma page et j'essaie d'y être active. En tout cas, au début. Maintenant, je lâche un peu, sinon je ne fais que ça.

Mais déjà mettre ces deux badges, je suis assez fière. Pensais pas que ça allait réussir.

Et ce n'est pas tout ça! J'ai pris 350 photos de mon top model pour mettre en valeur nos bijoux. 350! Les premières étaient plus ou moins nettes, mais vers la fin...De plus en plus floues, mais ça, j'en ai une curieuse habitude. Je peux avoir les meilleurs appareils du monde, je fais du Hamilton.

Enfin bref, là, je te montre un collier de 3 mètres de long, fait en organza blanc et perles plaquées argent. N'est-ce point adorable.

Eh! oh! je te parle du collier! C'est un blog consacré à la présentation et l'explication des bijoux que nous faisons, au cas où tu l'aurai oublié!

Alors oui, j'ai mon top model. Et je sens que mes bijoux vont faire fureur. Me trompe-je?

De plus, c'est plus facile de faire des pages sur les networks que d'allier son blog avec des groupes. J'ai fait deux demandes et je m'aperçois que je suis toujours aussi solitaire et que les groupes ne m'ont : ou pas donner de nouvelles car les groupes ne serviraient à rien, mais là, il faudrait me le dire, ou qu'ils me refusent car mon blog est trop fouillé et interressant. Je préfère la 2ème solution.

Bon, ça fait trois heures que je suis en train de merder avec ce clavier et j'en ai plein les pattes. Alors, je te salue et à tout soudain, j'espère.

A+

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