jeudi 24 décembre 2009

C'est Noël

Joyeux Noël, cher lecteur, et c'est par cette journée exceptionnelle que je te fais l'immense honneur d'écrire un article sur mon blog perso afin de te relater les dernières nouvelles du front.


Car si je ne m'exprime guerre ces derniers temps, sur ce blogue, cela va sans dire, ce n'est point pour autant que je restasse inactive et que ma créativité restasse en berne. Non non. Je créasse.

J'eusse même mis un certain temps pour imaginer un style de mode qui allait révolutionner le combat contre les terribles morsures de l'hiver. Et mes petites mains ne se désactivassèrent pas à tricoter, tricoter, tricoter ce fameux pull que je ne puisse montrer en photo ici, présentement. Et pour la bonne raison qu'à l'heure qu'il est, il doit être dans un des camions-bennes qui ramassent les ordures, sillonnant gaiment la ville ce matin.

L'idée était bonne, la laine jolie quoiqu'irrécupérable, mais visiblement, la magie n'a pas fonctionné.

Ooohh je vous passe les railleries des mes deux critiques en qui j'ai pourtant toute confiance et qui ont quand même pris des gants pour me dire que ça n'allait pas. Dire est un bien grand mot. Z'ont tellement eu la trouille qu'ils ne se sont exprimés que par grimaces et fous rires contenus. C'est moi qui ai du dire les termes adéquats pour qu'ils osent avouer que ce fût le massacre le plus total. Et voilà-t'il pas que, devant ma mine déconfite, et il y avait quand même de quoi, j'ai encore de la corne aux doigts, qu'ils se mettent à vouloir me consoler. Affligeant!

Plus affligeant encore lorsque l'un des deux me propose de le mettre sur ebay, dans la rubrique : costumes de Carnaval. Bas!

C'est pourquoi, cher internaute, afin de ne pas devenir la risée internationale, et ce, bien que d'autres, plus connus que moi pourraient me ravir le flambeau, je décidasse de ne pas immortaliser cette débâcle dont je fusse la conceptrice.


Mais comme je n'ai point l'habitude de ne pas faire de billet sans y joindre une photo, je me permets d'y coller celle-là, qui représente le nouveau mobile LG KM900 Arena, Life's Good, pour celui ou celle qui sait l'utiliser.

Et pourquoi cette photo, hein?! J'y arrive!

Ce fusse par un jour merdique, hier ou avant-hier, alors que je me promenais par la ville, j'entrisse dans mon magasin de l'opérateur où j'ai ma TV, ADSL 20'000, téléphonie fixe illimitée et mobile, pour zyeuter les nouvelles nouveautés.

Quand à la question, « que recherchez-vous? » me fut posée, question à laquelle je répondis du tac-o-tac « j'en sais rien » mais pas un Apple, car je suis en guerre avec Apple et ce, depuis la nuit des temps, mais ça, tout le monde s'en fout et pourtant je ne suis pas à court d'arguments, je m'entendis dire, par ce conseiller à la noix et ce, avec un certain aplomb, enfin non, je crois que c'est moi qui avais l'aplomb, mais ça, ce n'est pas grave non plus, attention les vélos : « vous me facilitez pas la tâche » qu'il me dit, le mec. Je suis restée stoïque et je me retrouvais ainsi avec ce type d'appareil, qui n'est autre qu'un « androïde » avec appareil de photo 5 mégapixels, caméra, baladeur, radio, dictaphone, télévision 30 channels, internet, GPS, et, cerise sur le gâteau, téléphone! Manque plus que le briquet et il serait au top.

Alors bon, j'ai pu regarder et tester pour l'instant, le KM900, Arena un petit peu et le Life's Good pas encore.

Ainsi, sur ces belles paroles, cher internaute, je te souhaite de toutes belles fêtes de fin d'année, quant à moi, je vais ouvrir tous les cadeaux que j'ai reçus sur facebook. Me réjouis, tiens!



dimanche 29 novembre 2009

Billet d'humeur...(sans photo)

Ou les espiègleries hypocrites de l'Etat souverain.


Le paquet de cigarette est à 7.00 frs. Et que je vais me faire un petit calcul approximatif car il serait bien d'avoir les chiffres officiels. Mais extrapolons!

Pour un pays de 8 millions d'habitants, je suis gentille, je prends seulement le 15% de ce 8 millions qui nous font : 1'200'000 fumeurs à 1 paquet par jour.

Sur ce paquet par jour à 7.00 frs, env. 3.00 frs vont à l'état. nous arrivons à 3 x 365 = 1'095.00 frs par an et par amateur d'herbe à Nicot.

Les 4.00 frs autres vont aux entreprises de tabac, de l'agriculteur au vendeur. Soit pour un petit pays comme la Suisse, 4 x 365 = 1'460.00 x 1'200'000 = 17'520'000.00 frs annuels (11,628,603.99 €) pour toute une économie.

L'état perçoit donc environ : 13'140'000.00 frs annuels (873.708.937,10 €) qui seront versés pour une infime partie à des affiches dissuasives mais pas trop, et le reste à l'assurance vieillesse, c'est-à-dire la rente des gens à la retraite.

(J'étais au courant que l'euro avait baissé, mais pas tant que ça!)

Sachant que ceux qui vont être à la retraite ne seront pas ceux qui auront fumé comme des pompiers, ce sont les fumeurs proscrits qui vont se goudronner leurs poumons afin d'offrir un pont d'or pour ceux qui n'auront pas tiré une taffe.

Comme la population européenne vieillit (évidemment, il y a moins de fumeurs et de plus en plus de non-fumeurs), l'état a tout intérêt d'augmenter petit-à-petit le prix du paquet afin de ne pas choquer les consommateurs de tabac et que ces derniers soient tous disposés à poser leur briquet et faire la grève de la nicotine.

Non non! Moins il y a de fumeurs, plus on augmente le prix du paquet. Le but étant de fixer le prix à 10 balles ces prochaines années.

Plus rigolo, le fumeur coûte moins que ce que l'on pense à l'assurance maladie, donc le porte-monnaie des assurés est à l'abri. En effet, on ne peut mettre d'implant à un fumeur, mauvaise combinaison! Sachant le prix d'un implant, beaucoup peuvent se sentir soulagé!

A l'heure actuelle, tous les endroits publics sont interdits de fumée. Ce qui n'est pas un mal en soit pour des lieux comme le bus, l'avion, etc (la belle vie quoi!) Il est vrai aussi qu'il est préférable de sentir le poisson, la fondue ou la friture lorsqu'on sort du bistrot que celui qui est dehors, en train de fumer sa clope tranquille aux abords dudit restaurant, en train de se peler de froid. Mais l'avantage est que les proscrits se rencontrent autour du cendrier extérieur et font connaissance alors qu'ils ne se seraient jamais adressé la parole si ils avaient fumé à l'intérieur dudit bistrot qui pue le poisson, la friture ou la fondue! Pour cela, un tout grand merci de nous refaire redécouvrir un sentiment de solidarité (purée, j'en avais même oublié le mot!) Oui. Merci!

Mais que les commandos-anti-tabac commencent à agresser le fumeur jusque dans la rue, alors que les véhicules polluent tout autant voir plus, (ils ont plus de chevaux) tient de la fumisterie!!

Pour cette raison, je rejoins Diabolo sur http://cartesiens.ning.com/ ! Créons : Ne tirez plus sur les fumeurs ou votre retraite partira en fumée!

lundi 2 novembre 2009



Billet d'humeur.


Et que vois-je dans toutes les vitrines des magasins de vêtements, mon idée!

On m'a piqué mon idée sur les types d'écharpes que j'avais confectionnées fin de l'année passée, début de cette année. Tonnerre!

Est-ce que parce que j'avais déjà mis les photos sur mon blog perso, lequel je croyais que personne ne consultait? Est-ce parce que j'ai eu l'inintelligence de le mettre sur un site de mode américain? Est-ce parce que je l'avais mis sur un autre site de créateurs?

Dois-je me sentir frustrée qu'on m'ait piqué mon idée? Ou dois-je être satisfaite et heureuse que cette dernière aurait été prête à être exploitée par des « créateurs - stylistes » qui ont peut-être amélioré la façon de faire tout en conservant l'idée de base?

Je ne sais pas, mais toujours est-il que je ne publierai pas la photo de ce que je viens de terminer et qui est génial. Je ne le publierai, désormais, que mes objets qui seront déjà en vente.

Est-ce de la colère? Peut-être un peu quand même! Car c'est bibi qui passe pour une plagiaire et ça, ça me tue!


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Voilà!

samedi 24 octobre 2009

Vacances à Madrid


Madrid, le 24 octobre 2009




Je marque la date du billet, car vu la connexion délirante des hôtels wifi, je prépare mon billet sur un logiciel word afin de ne pas perdre tout mon texte sur mon blogue.

Comme je l'ai marqué en début de texte, je me trouve à Madrid, dans une pension bien sympa au presque centre de la ville, dans une chambre bien proprette, avec bains, wc, lavabo, lumière, TV et connexion WiFi merdique à souhait.

Ce qui ne m'empêche pas de penser à toi, cher lecteur virtuel, car cela peut expliquer mon manque de création de ces temps et mon abandon de mon blogue qui m'est pourtant si cher.

Donc j'ai pris mon portable hyper grand que je dois mettre dans une valoche, car aucune sacoche ne peut le contenir, (en fait, c'est un portable pour appartement, c'est ce que j'ai compris ici, à Madrid), et cela va sans dire qu'il pèse une tonne, pour une connexion WiFi en laquelle j'eus accordé trop vite ma confiance, au lieu de prendre l'objet que je suis en train de créer et qui m'aurait tout autant occupée sans peser des kilos qui me font mal au dos.

Ainsi je prends le temps d'écrire mon billet dans la chambre d'hôtel sans déjeuner, mais avec armoire et deux lits, afin de te décrire l'objet que je suis en train de faire, mais sans en montrer la photo, car je n'en ai pas pour l'instant.

Et il faut que j'arrête de manger sur mon clavier, cela évitera peut-être de mettre des miettes entre les touches et bloquer certaines lettres!

Je fais donc le choix de te montrer une photo de Madrid, en primeur, car c'est un « monument » tout-à-fait habituel mais auquel personne ne prête attention, alors qu'il est non seulement joli, mais tout-à-fait pratique, usuel, qu'on peut voir un peu partout dans le monde, en tout cas dans une partie, et dont la photo peut être très artistique, la preuve!

Ces deux poubelles ne sont pas n'importe quelles poubelles. Ce sont non seulement des poubelles typiquement madrilènes, mais en plus, ce sont des poubelles de jardin du Palace Royal de sa Majesté. D'où l'importance de cette objet de fonction publique et que je ne puis m'empêcher de te montrer, cher lecteur virtuel.

Car cela est non seulement joli, mais totalement inaperçu par les photographes artistico-touristiques qui prennent tous les mêmes photos. Les dites photos qui seront stockées par la suite, sur des CD et dans des albums familiaux pour prouver qu'on y a été et que ce sont de beaux souvenirs, lorsqu'on les ouvrira une fois tout les cent ans.

A ce propos, je ne puis m'empêcher, cher habitué virtuel, de te conseiller de faire les-dits albums, les CD n'étant pas vraiment fiables dans la durée. Ce qui me rappelle que je dois moi-même faire 3 albums en retard et que je vais peut-être profiter de l'occasion d'avoir une Wifi merdique pour commencer ce labeur qui traîne depuis le début de l'année.

Comme tout ce que j'ai commencé depuis le début 2009 et que je n'ai pas fini, consacrant mon temps avec mon site, mon magasin en ligne (heureusement que je n'ai pas fait grand chose), facebook, twitter, friendfied, dailymotion, youtube, et je crois que c'est tout, je n'ai rien foutu!

Mais je voulais écrire sur ma création du moment qui est une sorte de châle sans en être un, crocheté avec un type de ruban doux pour le noir, et bordeaux pour celui qui pique un peu, fait surprenant vu que c'est exactement le même type de matière.

Je ne peux en dire davantage, car je ne sais pas encore comment il va finir, puisqu'au départ, je ne savais pas vraiment ce que j'allais faire. Comme je ne l'ai donc pas fini, et que je ne sais pas vraiment ce que ça va donner, mais que, pour l'instant, c'est bien, et ce, sans me jeter des fleurs, mais je suis habituée à ce genre de surprises puisque je travaille toujours ainsi. La création vient en créant! C'est comme pour la faim qui vient en mangeant!

Voilà pourquoi je ne peux t'en dévoiler plus, non par peur que mon idée soit exploitée par la suite par les grandes marques de fabricants de mode, mais que j'ignore totalement moi-même le résultat final de cet ouvrage qui est encore sur le métier et que j'aurais pu finir ici, à Madrid, si je n'avais pas fait le choix d'emporter ce notebook d'une tonne à la place.

Voilà! Je crois que j'ai dit tout ce que j'avais d'intéressant et palpitant à dire et je vais m'arrêter là pour le moment, 3 albums m'attendant. A+

dimanche 6 septembre 2009

Une réussite!!



Bonjour chères lectrices et chers lecteurs, chères admiratrices et chers admirateurs, chères spectatrices, chers spectateurs, cher auditoire virtuel.
Si je déclame ainsi au début de ce billet, c'est pour attirer votre attention pour la présentation de ce bijou que je viens de finir et que je pourrai appeler: "Ben mon cochon, je t'ai eu!". Mais étant consciente que ce ne puit être le nom de ce magnifique ras du cou que je viens de finir après 9 mois de gestation, il va me falloir lui trouver un nom plus romantique, et pour cela, il faudra que l'émotion qui m'éprend encore retombe un peu et que la rancune soit oubliée pour lui trouver un nom plus adéquat.
Car il m'en a donné, du fil à retordre, cet apôtre!
Et n'oublions pas que j'ai dû défaire le premier bandeau que j'avais tricoté, crocheté, cousu avec du ruban type organza souple, trop souple, d'où l'échec spectaculaire de la première tentative que vous pouvez, cher auditoire, mirer sur les photos des billets précédents.
Bandeau que je voulus confortable, doux, soyeux, et qui se révèlât, doux, soyeux, baveux et raté quoi. Le mot est lâché : raté!
Eus-je encore espérance en le regardant si longtemps sur la table, comme si un miracle allât se produire et ce tissu confectionné de mes mains se convertir en une nuit, comme mon esprit l'imaginât alors? Fut-ce pour cela que je reprîs le crochet pour améliorer cette bande de ruban mais que je ne fîs qu'empirer le problème? Fut-ce pour ceci que je cousis pour achever le ratage surprenant mais complet du bandeau? Et toujours cet espoir que les jours passant et repassant n'y fît rien. Juste me jeter aux yeux cet echec foudroyant et désespérant de cette idée à la con que j'eus, à l'époque de l'innocence de la création, que, les amazonites (que je prîs pour des Jaspes, le ridicule que je m'en paie encore!) pesaient 3 tonnes chacune et qu'à aucun moment, aucun, la laine-ruban douce et soyeuse ne pusse porter un tel poids sans devenir baveuse.
Je dûs me rendre à l'évidence, suivre plusieures séances de psychothérapie, et prendre enfin la décision et mon ciseau le plus aiguisé pour couper, arracher, scier, confettiser le ruban tricoté, crocheté et cousu de ce bandeau de me..e.
Puis, le collier étant décomposé, qu'allas-je faire pour remplacer, tout en restant dans la même idée?! Il me fallût, au début, un fermoir qui aurait la force de retenir ces gemmes d'une splendeur splendide et d'un poids terrible. Plusieurs câbles acier, pour plusieures rangées, afin que le poids ne cisaille pas le cou de celle qui aura le plaisir de le porter. Penser au confort d'un collier. C'est aussi ça, confectionner des bijoux! Faut penser à tout! Et plusieurs câbles, plusieurs intercalaires, plusieurs points d'attache et il nous faut un fermoir spécial! Pas de miracle de ce côté-là! Finies, les illusions! Il m'a fallu penser concret, calculer statique, et choisir les perles de bohême, perles très douces au toucher et qui permettent d'ornementer les câbles et de les rendre doux, soyeux et non baveux.
Après plusieurs jurons et pensées machiavéliques à faire damner un saint, mais que j'ai la délicatesse de ne pas recopier bêtement ces propos douteux dans ce billet de blog, j'eus fini mon ouvrage. Et n'est-ce point beau?! N'est-ce point magnifique?!
Alors comprends, cher auditoire virtuel, que je ne puis, en ce moment, donner un nom à cette création! Le duel ayant encore des séquelles psychologiques sur moi-même (je doute que ce collier en ait, c'est pour cela que je dis moi-même)(car, à part moi-même, je ne sais pas qui en aurait)(car l'empathie faisant de plus en plus défaut dans la société dans laquelle on vit), m'enfin, après toutes ces parenthèses, j'ai perdu le fil de ce que je voulus dire. Et ce n'est pas la première fois. D'où relecture du paragraphe pour savoir où j'en suis, 2 secondes!
Bon, j'ai relu et je n'en sais pas plus! Comme je dois exercer le lâcher-prise et rester zen, je vais cesser là ce billet, car je crois avoir tout dit! Et ce que je peux rajouter ne serait qu'inintéressant. Il faut savoir s'arrêter quand c'est le moment. Et là, je sens que c'est le moment.
Déjà que j'ai rendez-vous avec mon médecin!
Bref, cher auditoire, comme d'hab, mes billets finissent en queue de poisson, mais je te laisse contempler l'image de ce merveilleux ouvrage que je vinsse de finir!
A+

dimanche 23 août 2009

Fin août


Je sais, j'aurais pu trouver un titre différent, plus évocateur, plus attirant, mais bon; c'est le seul que j'ai trouvé et je ne vais pas me casser la tête pour un titre un dimanche matin.
Déjà un, parce que la honte me submerge. Et oui. Je dois reconnaître que je ne sais même pas ce que je fais, ce que je créée, la preuve en est : ce maudit collier que je traîne depuis le début de l'année et que j'ai osé décrire comme ayant de grosses perles de Jaspe.
Or, la honte du siècle, ce n'est pas du Jaspe. Que nenni! Que ce sont de grosses perles d'Amazonite et comme tout le monde sait que l'Amazonite n'a rien, mais alors rien à voir avec le Jaspe!
L'amazonite, vulgairement parlant n'est autre qu'une variété de microcline, minéral de la famille des feldspaths dont la composition chimique est identique à celle de l'orthose : il s'agit en fait du polymorphe de basse température, qui appartient au système cristallin triclinique. Son nom vient du fleuve Amazone.
C'est une pierre ornementale de couleur verte, vert bleuté, bleu-vert semi-opaque (sa couleur tient à la présence de plomb). Elle est sensible aux pressions.
Alors que le Jaspe est une roche sédimentaire contenant de 90 à 95 % de silice, souvent classée avec les quartz microcristallins. Elle est constituée de radiolaires calcédonieux pris dans un ciment de calcédoine. Sa cassure est écailleuse parfois conchoïdale. Le jaspe peut avoir plusieurs aspects : tacheté, rubané, rouge (ou oriental), à taches rouges sur fond vert, noir (de Sicile), etc.
La différence en est frappante et moi, faisant des bijoux qu'avec des gemmes de première qualité, je me suis trompée de façon si lamentable que je ne puis écrire ce billet de blogue qu'un dimanche matin, très tôt, et de laisser la date vague, bien que, pas folle la mouche, je sais que google va me dégonffler en mettant la date exacte juste avant.
Mais est-ce que tout cela a-t'il vraiment de l'importance? Je me le demande. Oh que je ne cherche pas là une parade pour me déresponsabiliser d'avoir confondu une gemme de type cristallin tricyclinique d'une gemme de type calcénoïdale, non, non et non! J'ai fait une faute et je la reconnais! Le fait est que je l'écris et que cet aveu me survivra tant que le net me survivra.
Mais n'y a-t'il pas des choses plus importantes dans la vie qu'une simple petite erreur survenue malencontreusement sur ce blogue que je voulais pédagogique, instructif et ludique? Me dis-je, au fond de moi-même. Un exemple? La pile de repassage qui m'attend depuis...oh! que je te vois venir, cher lecteur, que nenni. Que pas depuis le dernier message de ce blogue délaissé! Ce serait m'offenser que de penser ainsi...même si c'est pas loin! Non, la je plaisante! Car avec la saloperie de canicule qui nous plombe depuis des jours, on ne peut garder les même habits tout le temps! J'ose espérer que nous pensons tous la même chose...à propos des habits.
Maintenant, qu'il y ait des gens qui adorent la canicule m'importe autant qu'un pet de lapin. Moi, perso, avec mon égo, nous détestons cela et ses inconvénients, tels que le changement de vêtement quasi quotidien et le gaspillage de l'eau pour doucher un corps qui sue!
Que je revins-je au sujet qui me préoccupe, le collier dont j'ai pris la facilité même de reprendre la même photo qu'un sujet précédent déjà publié je ne sais quand, mais il y a longtemps de toute façon! Voilà jusqu'où me prend la parresse. Une honte supplémentaire. Qu'importe, je n'en suis plus à une près!
Ce collier, sur lequel je dissertasse depuis bientôt une demie-heure, sans un café....Ben attends que j'aille m'en faire un de suite, tiens! Cela renouvellera mon inspiration, cette dernière étant soudain en berne. Pas sur ce que je doisasse dire, mais comment! 2 secondes...
Tout va bien. j'ai mon demi-litre de kawa, mon natel chargé et une clope allumée.
L'effet d'un écrivain qui, la cigarette au bec, laisse tomber les cendres sur le clavier car les doigts ne lâchent pas de courrir sur les touches à grande vitesse, de façon à ne pas perdre le fil de ses pensées et de les retranscrire aussi subtilement qu'elles viennent à l'esprit.
J'en étais où?
Ah oui! Qu'avait-il le plus d'importance? Une pile de repassage qui m'attend ou le collier d'AMAZONITE trycyclidilique que j'ai de toute façon détruit, car le bandeau ne me plaisait pas, mais pas du tout! D'où, plus de collier, mais des vêtements froissés.
N'est-ce donc pas pour fuir ces derniers que je perds mon temps sur un blogue que je fournis par des articles complètement stupides depuis le début de l'année. Et heureusement qu'il y en a peu, d'articles stupides! Ces derniers ne siffiront pas à cerner mon personnage. (je dis ça pour la CIA, cette dernière étant partout, je l'ai lu sur facebook)
A part cet amassis de conneries, j'ai mon café, mon natel chargé, ma clope consummée et plus envie d'écrire. Alors ne m'en veut pas, cher lecteur, que je te laissasse sur ces derniers mots.
Je reviendrai de toute façon un de ces jours.
A+

dimanche 19 juillet 2009

Twitter


On est dimanche et cela fait je ne sais combien de temps je m'embête avec tous ces mini-logiciels, ayant chacun leur propre configuration, ayant chacun leur façon de fonctionner, ayant chacun leur particularité...

Et là, bien que je sois particulièrement nulle car je dois être une des seules personnes qui ne comprennent pas twitter, j'arrive à installer le widget je ne sais comment, donc, gentil! Ne me le demandez pas...en tout cas pas tout de suite, car là demeure le mystère total et obscur, et, bien que répondant de temps en temps, quand ça me pête, à l'aide de bloggueurs francophones, je profite de l'absence de tout lecteur pour vider mon sac de stress informatique.

En plus de tout ce massacre cybernétique, tout s'affiche en anglais, car sur Twitter, on ne parle non seulement en anglais, mais en onomatopées, que j'écris comme ça me chante, car là, vraiment, mais vraiment, ce n'est pas le moment d'aller me demander d'aller regarder dans le dico pour voir comment ça s'écrit.

Déjà que j'ai mal au genou. Quel rapport? Me demadera-t'on niaisement. Le rapport est que je me le suis éclaffé et que ce n'est pas le moment de mettre un pavé de pages dessus pour contrôler l'ortograffe des mots que je mets sur ce foutu blog.

J'en étais à Twitter. Twitter et Opera que j'ai installé du même coup. Et pourquoi installer Opera? Simplement pour ne pas mourir idiote.

Bon. J'ai réussi à mettre Twitter sur mon blog, installer Opera en le faisant déjà gicler en installant un widget qui pourtant, était proposé par ce programme, et réussi comment on pose une question sur ce foutu forum de Microsoft quand on a un problème informatique, ce qui est mon cas.

Car, après avoir règlé mon curseur pour qu'il aille comme sur des roulettes, il y a mises à jour sur mises à jour, en septembre sort Microsoft 7, et qu'il faut bien que toutes les andouilles qui exploitent Vista puissent être à niveau. On a pas tous les moyens de se payer un PC lorsqu'une version change. Du coup, après ces "updates" mon mouse me fait des misères en jouant le capricieux.

Et tant, et tant de programmes, avec tant de mots de passe, avec tant de spécificités, de login, de join now, de suscribe now, de, de, de....

Tiens. Par exemple le mot, si on peut appeler ça un mot : app. Késako?! Un sous logiciel créé pour aller sur des phones, ipod, imachins apples? Apps. J'en vois partout. Et je déteste de ne pas savoir ce que c'est. Mais là, je commence à délirer. Tout ça à cause d'un twitter que j'ai réussi à mettre sur mon beau blog, et que je peux mettre sur app aussi, ce qui me fait une belle jambe.

Une petite photo pour faire joli, qui s'affichera de toute façon en haut et que je ne déplacerai pas.

Mon message finit là. Je vais me reposer!

dimanche 28 juin 2009

Ma création qui dure depuis plus de 6 mois

Je mets juste le titre, je reprendrai le blog plus tard.
Je viens de me souvenir que je n'ai pas que ça à faire. Désolée pour tous ceux qui attendent la suite des événements, mais je ne vous oublierai pas...

Je reviens. Visiblement, on a pas besoin de moi pour l'instant, donc je peux continuer à disserter sur le sujet passionnant que je voulais partager avec toi, cher public virtuel.

Mais d'abord, photos afin que la compréhension de mes problèmes soient mieux perçus. J'y vais et dieu sait où elles vont encore gicler, puisque de toute façon, même dans l'aperçu du billet, elles ne figurent jamais là où je voudrais qu'elles soient.
Je ne m'obstinne (si ça prend qu'un n, c'est encore mon problème) plus et que je te télécharge ces photos tandis que mon souper est gentiment en train de brûler...mais il y a encore pas trop de fumée, je peux encore voir ce qui se passe sur mon écran.
P'tite sauvegarde quand même, au cas où.
Cette ravissante photo sur ta gauche montre le collier sur lequel je merde depuis 6 mois. Pourquoi? Me diras-tu, comme ma meilleure amie qui me dit qu'il est fini. Que non, que répondis-je, larmoyante, ne vois-tu donc point qu'il est raté? Que nenni, me répondit-elle prestement. Que oui, répondis-je aussitôt. Et là, j'arrête, car je pourrais faire des copiés-collés pendant un moment.
Ce collier est fait de grande gemmes de jasper rare ainsi que de petites perles d'opaline et de perles de bohême, du plus bel effet si ce bandeau à la con n'était pas complètement raté. Et c'est ce bandeau qui me gêne. C'est le pourquoi du comment je merde depuis six mois. Et rien que pour ça, je vais me changer les idées en bloggant sur autre chose que ce foutu collier qui me donne du fil à retordre. (Excellent, ce jeu de mot, mais il y a que moi qui peut le comprendre, donc il doit faire un flop total sur ce blog de haut niveau.)
Je vais donc parler d'autre chose, car déjà qu'il y a plein de choses dans la tête pour un neurone, je vous présente sur la gauche de votre écran, Kant.
Comme tu peux le constater, Kant est un galgo, soit un lévrier espagnol, ancêtre de tous les lévriers qui ont apparu par la suite, et c'est un être complètement traumatisé, comme tu peux le constater. Le voir ainsi me fait mal au coeur, mais il me faut montrer cette photo pour voir comment se comporte un chien maltraîté.
Quoique je me demande parfois qui est maltraîté dans l'histoire, mais je n'irai pas plus loin, ne voulant pas pleurer sur mon sort.
Kant apporte beaucoup de qualité à sa maîtresse chérie. Il lui apporte l'attitude zen, c'est-à-dire attendre une à deux heures calmement, sur place, plein soleil, pour que ce cher chien ne se montrasse jamais, mais qui montre à quel point le natel est utile pour faire de nouvelles connaissances et de payer des cafés à celui ou celle qui l'a trouvé, c'est-à-dire au bistrot où j'ai l'habitude d'aller boire mon kawa.
Il lui apporte aussi un soutien sportif lorsque j'ai la merveilleuse idée de changer d'endroit pour qu'il ne fuie pas directement à la pinte. Ainsi, je fais de merveilleux échanges avec les gens qui pique-niquent dans les bois ou alors, je dois aller le chercher ailleurs, car MÔsieur croit tout savoir et se trompe de chemin. J'ai adopté ainsi la zen-attitude. Du moins quelques temps, car je l'avoue humblement, je peux parfois m'énerver.
Et sur cette dernière photo de gauche, tu peux admirer le profil de Mister Tao, Shi-tzu de sa lignée, qui me sert de réveil-matin, celui dont on a parfois envie de taper sur le bouton pour que ce-dernier s'éteigne.
Mais Mister Tao ne s'éteind pas et pire, il insiste...le con.
Zen-attitude se réveille, se met la tête sous l'eau froide, car ce n'est pas à dix heures que Mister Tao se met en branle...que non. 7h30 pètante et parfois moins.
Souvent moins.
7h30, c'est quand il est gentil ou qu'il pleut.
Bref, comme tu vois, cher public virtuel, je suis emplie de problèmes vitaux et de plus, je n'arrive pas à mettre la traduction automatique de mon site web, bien que je sois sur une piste, mais qu'il me faille encore exploiter ces fonctions que je qualifierai de belles merdes pour l'instant, mais c'est la colère qui parle!
Bon, c'est pas tout ça, cher public, mais là vraimant, le devoir m'appelle. Je ne t'abandonne que pour un petit moment, n'aie pas peur!
A+

samedi 27 juin 2009

Mon retour informatique...un fiasco?

Ne t'en fais pas, cher lecteur que je salue en passant, j'ai modifié ma page blog le jour même où j'ai dit que je le ferais. Cela ne fait donc pas une semaine que j'ai compris comment fonctionnait le blog google, mais je n'avais tout simplement pas envie de mettre un message 4 minutes après les modifications, cela pouvant perturber le néophite.


Non, non. C'est que depuis, j'ai peaufiné le site que nous avons créé et dont je vais coller le badge d'ici peu, si je me souviens comment on fait et j'aimerai aussi peaufiné un autre site que nous avons aussi créé et qui rencontre aussi un succès tout aussi mitigé. Et que je t'y collerai le badge une fois fini, bien que commencé avant. Mais là n'est pas le problème, si il devait y en avoir un!


Non, non. C'est que depuis aussi, je me suis mise sur facebook et que je me demande bien ce que j'y fous! C'est un interface hyper ininterressant dans lequel on se fait plein d'amis qu'on ne connait pas et avec lesquels on ne partage pas grand chose, dans lequel aussi on fait partie d'un tas de groupes qu'on ne fréquentera jamais plus une fois qu'on a posté notre premier message, et dansquel je fais encore plein d'erreurs, car je m'y emmerde royalement; et que j'essaie de bidouiller des trucs pour voir si ça marche; et comment je pourrais peut-être changer ma config. mais que nenni.


De plus, on nous demande sans arrêt d'être amie avec quelqu'un ou une, on aimerait d'ailleurs bien savoir qui c'est, mais comme il faut faire partie de ses amis pour avoir accès à ses infos, on clique demande d'amitié, on y met un code parfois illisible, et on se retrouve avec quelqu'une qui est fan de Sarkozy, la honte!


Bon, Ségo Royal m'aurait fait la même sensation désagréable, mais quand même! Ca m'a finie!


C'est après toutes ces mésaventures informatiques, que je te retrouve enfin, cher blog, car toi, tu ne m'as jamais lâchée et que ton contenu y est ludique, pédagogique, interressant et modifiable à souhait, sans jamais me faire des erreurs système, déserté comme les sables du Sahara, ce qui n'est pas pour me déplaire. Ainsi, j'en attends rien, sinon une autosatisfaction que je ne partage avec personne, puisque personne ne me lit.


Je peux même faire des fautes d'orthograffe, si ça me chante, ce que j'avoue humblement, ne m'arrive jamais, personne, personne pour me le reprocher.


Voilà. Bon. J'y colle quand même une petite photo pour le plaisir des yeux, et je vais prendre ma douche, car je dois bientôt me tirer pour aller promener mes trois chenapans dans une forêt que nous avons choisie pour changer de celle qu'on fait tous les jours de l'année depuis bientôt plus d'une année.


C'est que j'aime le changement, moi!


A+


Photo : Cyprius côté turc...


dimanche 21 juin 2009

Dimanche 21 juin

Jour ensoleillé, avec une grosse bise à décorner les boeufs, mais températures moins qu'agréables quoique supportables avec une veste et des gros sabots...pour la touche.

Je sais, je sais, cher lecteur virtuel qui ne me lit de toute façon pas, que je t'ai beaucoup manqué, que mes interventions deviennent de plus en plus sporadiques, bref, que je me suis mise en vacances bloggueuses. Comme je le dis toujours, j'ai des circonstances atténuantes. Car j'ai toujours des circonstances atténuantes. Et là, ce matin, je profite d'un petit break pour laisser un petit message pour te montrer que je suis toujours vivante, malgré les turpitudes d'une vie qui ne m'épargne pas. Mais cessons là toutes lamentations et reprenons ce message de manière positive et créatrice!

Car, et ce, malgré ce que tu puisses penser, je ne suis pas restée inactive. Ohhh que nenni!

Je me suis attelée à un lourd combat mental que je mène avec les codes CSS.

Pour celles et ceux qui ignorent ce que sont les codes CSS, je vais en faire un bref descriptif afin d'en faciliter la compréhension. 2 secondes que je prenne ma respiration pour en faire quelque chose de vulgarisé et ainsi, compréhensif par n'importe qui. J'y vais.

Simpleweb est un système de gestion de contenu (SGC). Il intègre des fonctionnalités d’édition WYSIWYG. Simpleweb ne nécessite qu’un système de fichier partiellement accessible en lecture/écriture par votre serveur Web et le support de PHP.
À partir d’une simple maquette Web statique, l’intégration se fait par intégration de codes PHP et CSS fournis. Il est possible d’ajouter des extensions (greffons) afin d’assurer son évolutivité.
Simpleweb est développé principalement par Libre Informatique sur Gna! sous licence libre GNU GPL. (dixit wikipédia)

Simple comme bonjour quoi!

Mais je peux peut-être expliquer un tout petit mieux si un ignorant ne comprend pas ce langage clair et concit.

Le code css, c'est ce foutu code qui est derrière la page que tu es en train de lire et que tu peux modifier à loisir. A partir du moment où tu connais certains principes, tu peux créer une image informatique qui va s'afficher sur ton écran et qui te plaît (pour autant que tu réussisses).

Et si je me suis plongée dans cette folie informatique, c'est que ce blog, ici présent, ne me plaît pas, et que j'ai envie de le modifier. Mais pas seulement. J'ai créé des sites! Et oui! J'y mettrai d'ailleurs les liens une fois que j'en aurai le temps.

Ce qu'il y de bien avec les codes css, c'est que tu prends du retard partout et ne fous plus rien sur ce que tu as créé! T'oublies tout, car tu fais tellement de conneries qu'il faut rattraper par la suite, que le temps passe et que c'est que lorsque tu es complètement courbaturée et gaga que tu lâches ton clavier!

Et maintenant, je vais m'atteler au foutu css de ce blog afin de le modifier comme j'en ai envie. Alors attention les vélos!

Juste une petite image pour le plaisir et je te quitte avant le grand chambardement. (Pfff. je vais denouveau me lancer dans une de ces conneries, moi! Si ça ne marche pas...)


A 200 km d'Izmir...veux y retourner!!!





samedi 7 mars 2009

Le retour, 100 ème

Cher lecteur virtuel, je ne sais pas si tu m'as lâchée, tant il est vrai que je n'ai plus eu le temps de mettre quoi que ce soit sur ce blog que je m'étais pourtant engagée à tenir plus ou moins à jour.
Pour tout te dire, je n'ai même pas eu le temps de faire mon album photos sur Antalya et tout ce bordel devient une honte.
Il n'y a qu'une chose où je suis à jour, c'est mes impôts. Et encore, je suis à jour, mais l'administration pas et me torture jusqu'au fond de ma boîte aux lettres, moi, citoyenne modèle, remplissant mes devoirs démocratiquement hélvétiques jusqu'au bout, même quand je vote blanc. Parce que, même pour voter blanc, je vote. Je ne jette pas mon bordereau à la poubelle prétextant que ce sera un timbre d'économisé, non non, je vote blanc pour bien montrer que je m'abstiens de voter pour ce sujet-ci!
Timbrée, la mère? Peut-être, mais ça ne regarde que moi, et si c'est pour me faire traitée de timbrée, j'arrête là tout de suite mon billet, car j'ai tellement de pain sur la planche que j'ai autres choses à faire que de me faire traîtée de timbrée.
Déjà que je reçois plein de sms en ce sens, ce n'est pas sur cet espace virtuel relax où je cherche un peu de quiétude pour me faire appeler par tous les noms d'oiseau. Et je ne sais même pas pourquoi j'écris tout cela d'un jet, car ce n'est de nouveau pas du tout de quoi je voulais parler.
Ce que je voulais partager avec toi, cher lecteur, c'est que j'ai un nouveau compagnon dont j'ai collé une photo au haut de mon texte. Il s'appelle Dante et une fois déplié et repassé, tu peux aisément le multiplier par 4 voir 5 de grandeur. C'est un galgo ou lévrier espagnol et c'est une poire attachante du tonnerre de Dieu, si ce dernier existe. Mais je ne me lancerai pas dans ce grand sujet philosophique et biblique dont j'en ai rien à cirer et de plus, ce n'est pas du tout, mais alors pas du tout le sujet, et de plus, je risque de perdre le fil de ma discussion.
Dante! Dante! Tonnerre de Brest! Il a beau être doux comme un agneau, mais mets-le dans un contexte où il y a 20 cm de neige fraîche et attaché à une longe de 5m de long, avec mézig au bout.
Je suis cassée!
Je ne sais même pas où je puise mes sources pour encore trouver le temps de mettre un peu de vie dans ce blog abandonné depuis un mois maintenant?!
Si j'ai Dante, c'est que je suis famille d'acceuil pour l'instant, et je ne te cache pas que je suis déjà attachée à ce maudit chien comme à la prunelle de mes yeux, mais qu'un immense dilemme se pose. Puis-je le garder?! Non pour lui, car je me mettrai en quatre pour qu'il m'accompagne jusqu'à la mort, mais je crains que ce soit la mienne qui s'approcherait à grands pas si je le garde. Et ça! Ca! Je ne sais pas si je suis tout de suite prête pour ça!
Sinon, j'ai fait un collier que je n'ai toujours pas fini, mais qui est de toute beauté, encore un, car j'ai un autre dilemme qui se pose à moi. Mais ce sont des problèmes techniques dont je t'épargnerai les détails, cher lecteur virtuel, car je sens que cela ne va absolument pas t'interresser. Et il me faut parfois me résoudre à me fier à mes impressions.
Donc, ça fait un mois que je me débats dans un peu tout et le retour d'Antalya m'a finie.
D'où cette absence et ce long silence cybernétique. Peut-être sont-ce là mes derniers mots?
Peut-être une bouteille jetée à la mer comme un message pour dire "au secours, je coule" et si vous trouvez cette bouteille, vu la fréquence des visites sur ce site, je peux y rajouter " trop tard, veuilliez contacter mes meulleures amies et amis pour leur dire que tout est foutu."
Tout cela devient maccabre, n'est-il point?!
C'est peut-être pour cela que je vais m'arrêter là, avant de sombrer dans une déprime qui déjà me noue la gorge et que les larmes me montent aux yeux, car j'imagine la peine que je vais donner à tous mes amis et ennemis, si j'en ai, des ennemis, à part peut-être...Mais pour eux, s'ils existent, ben bien fait!
A+ j'espère.

jeudi 12 février 2009

Nouvelle collection automne-hiver 2010



Cher lecteur du soir, bonsoir.

Et comme d'habitude, je commente les photos, mais comme ce soir, j'en ai mis plusieures, je te laisse le choix de rapporter les légendes aux images s'y rapportant. Cela m'évitera de ne pas perdre mon calme olympique et de continuer à écrire sans me soucier de tout ce méli-mèlo que j'ai cessé d'essayer de comprendre.

Bref, attaquons le choses directement, sans perdre de temps, car comme je dois beaucoup écrire, il ne sert à rien de m'attarder à causer de rien sur n'importe quoi
Déjà, cher blog, je te présente mes excuses pour cette si longue absence. Mais j'ai des circonstances atténuantes dont je ne ferais pas mention sur ce blog. Cela prendrait beaucoup trop de temps et je suis limitée quand à la durée de ma batterie. Et comme je ne veux pas revivre l'expérience traumatisante de perdre tout un speech d'un interressant que rien n'égale, je me contenterais directement d'aller à l'essentiel, c'est-à-dire, de présenter notre collection automne-hiver 2010, car comme nous venons de les finir et que l'hiver touche soi-disant à sa fin, nous ne pouvons pas mettre ces articles pour l'été.

Déjà que nous n'avons pas de succès avec nos superbes bijoux...J'en étais où!

Bien. Je me suis retrouvée, c'est déjà ça.

1ère photo : représente mon idiot de chien qui, normalement, éteint mes clopes quand je m'endors, mais qui a relâché sa vigilance l'autre nuit et j'ai eu un début d'incendie dans mon lit. Heureusement que les vapeurs ou je ne sais quoi m'ont réveillée, car je ne serais pas là, à te légender, cher lecteur, les images que j'ai ajoutées et qui ont disparues depuis belle lurette, si bien que je vais les décrire de mémoire. (Enfin, ce qu'il en reste)

La 2ème photo : Une casquette-chapeau pour cheveux courts ou cheveux longs, ou les deux à la fois, faite avec du ruban blanc et noir. Ce bonnet "rasta" a la particularité d'avoir un cordon en son centre de façon à pouvoir le règler comme bon te semble. Tu peux même l'acheter
avec les cheveux longs et les couper ou l'inverse, l'acheter avec les cheveux courts et essayer de comprendre comment ça fonctionne pendant que les cheveux repoussent.
Nous ne livrons pas le mode d'emploi avec, d'où l'importance oh combien nécessaire de ce blog.

La 3ème photo : sauf une big error (grande erreur pour les francophones) de ma part, représente une petite cape orange, je dis les couleurs au cas où tu as de la peine à t'y retrouver, petite cape-écharpe-bonnet- cache-cou en laine synthétique poilue toute douce. Confortable et chaude, elle peut être d'une élégance selon qui la porte, comme tout article d'ailleurs. Par exemple, sur moi, ça fait assez jaune d'oeuf. Mais cessons ces plaisanteries qui ne font rire que moi et ça me fait du bien.

La 4ème photo : je regarde ma batterie, est une écharpe géniale avec un trou déjà fait. Ainsi, il n'y a pas besoin d'en faire un autre. Et pourquoi mettre un trou? Je te laisse toute l'imagination pour en faire ce que tu veux. Mais la première idée est de mettre une extrémité de l'écharpe, celle qui n'a pas de trou de préférence, dans le trou de la deuxième extrémité. On peut aussi
faire comme mon top-modèle, y mettre la main dedans afin de ne pas la perdre.

Pour l'historique de cette écharpe, c'est à cause des cols évasés des manteaux de la mode automne-hiver 2009 et qu'il fallait remonter et le tenir par un moyen quelconque. Ca ne marche pas vraimant, mais ça a l'avantage d'être joli et original. Me reste juste à espérer que les manteaux d'hiver 2010 n'auront pas le col Mao, sinon, on peut aussi s'en servir comme collier et laisse pour chien, mais je ne garantis pas la solidité pour un molosse.

La 5ème photo a un caractère plus ludique. C'est la terrasse où nous déjeunions tous les matins à Antalya, en Turquie, la première semaine de février 2009. Non qu'il ne fasse très chaud, mais il n'y avait pas de salle à manger intérieure. Et enfin, la 6ème photo est une des vues que nous avions depuis notre table à déjeuner, car notre ravissant petit hôtel situé dans les ruines du rampart donnait à pic sur le vieux port du vieil Antalya.

D'où une partie de l'absence de ce bon vieux blog que je tiens depuis des lustres.

Maintenant, me reste plus qu'à rechercher les photos, les mettre dans l'ordre tout en sachant que même l'aperçu me donnera une idée complètement fausse du message comme il va s'afficher définitivement.

Mais d'abord hop! Petite sauvegarde, car les photos et les légendes, c'est une chose, mais l'accu de mon fidèle notebook (ordinateur portable pour les Frenchies) en est une autre.

Et il n'y a rien de plus terrible que le coup de la panne.

Ben tiens! Voilà autre chose! J'ai plus de connexion! Et j'ai perdu 2 photos.

Commence à me casser les pieds ce machin! Alors, lesquelles il me manquent? Pfffffffffff¨

Ras les chaussettes. Comme si je n'avais que ça à faire!

dimanche 25 janvier 2009

Mon truc porté


Voilà, cher lecteur, cette création dont je t'ai abondemment parlé lors de mes commentaires précédents.
Et si je ne me suis pas manifestée pendant une dizaine de jours, c'est qu'il a fait très froid et que je me fûsse cassée la figure sur la glace au total sept fois, dont les trois dernières me fûssent fatales.
Je ne pût donc prendre des photos, car ce qu'il faut savoir, c'est qu'il faut en faire des centaines pour en avoir que quelques bonnes.
Et, faire des photos exige de se contorsionner pour trouver le bon angle, la bonne lumière, et ne pas trembler. Or, prendre des photos quand on est contusionnée de partout n'est pas vraiment une partie de plaisir.
Mais je suis stoïque et je ne narrerai pas toutes les parties du corps qui rencontrèrent subitement sur la glace vive, j'en aurai pour un chapître.
Ce que je dois ajouter aussi, c'est que mon modèle est toute fine et qu'elle ne portait qu'un petit pull pour ne pas étouffer dans la chaleur de l'appartement. Mais ce survêtement doit ou peut se porter aussi sur des gros pulls.
Comme j'ignore totalement comment les photos vont s'afficher sur le billet final, je vais expliquer un peu au petit bonheur la chance.
Il y a une photo où on ne voit que la 1ère partie de cet outillage hivernal. C'est le "boléro-manches longues-gants ouverts". Le col évasé est fait façon fourrure vieux rose.
Une 2ème photo montre le "boléro-manches longues-gants ouverts" avec "l'écharpe-bonnet avec trou pour fumeur" posé sur le "boléro-machin".
Une 3ème photo montre (saloperie de logiciel, on peut pas faire de copié-collé) le boléro-truc avec le bonnet-machin relevé. On ne voit pas le trou, ce qui prouve qu'on peut aussi le porter si on est non-fumeur.
Et enfin une 4ème photo qui montre le tout, de dos.
Ce n'est pas génial!
Bon, cher lecteur virtuel, je te laisse déjà, avant que mes pâtes se transforment en une sorte de bouillie immangeable.
A+








vendredi 16 janvier 2009

Le retour, je sais, déjà utilisé, mais j'ai pas trouvé mieux

Bonjour cher lecteur. Et je sais, je n'ai pas beaucoup bloggué. En tout cas pas sur ce magnifique site que j'ai lâchement abandonné un certain temps.
J'ai beaucoup pipelété sur des tas de networks que je ne contrôle absolument plus, mais, j'ai tout de même continué à créer. Et si il m'a fallu un certain temps pour confectionner cet article absolument génial, c'est qu'il me manquait de la laine, juste pendant la période des fêtes, évidemment, et que j'ai dû patienter pour recevoir la commande afin de terminer ce merveilleux ouvrage; n'est-il point!
Que je t'explique un peu ce que c'est, car c'est du jamais vu et cette idée sortie de mon génie naturel peut être plagiée.
En fait, c'est un ensemble, mais il peut être porté indifféremment, selon le climat. Ce n'est pas un article d'été! Je ne le solderai donc point non plus, mais il fera partie de notre collection hiver 2009-2010, voire plus.
C'est, ou ce sont deux survêtements. Mais ce que j'appelle survêtements, c'est qu'ils vont sur les vêtements, juste sous un grand manteau, fichus manteaux très beaux et très mode dont la fermeture éclair s'arrrête promptement assez bas afin de déployer un grand col qui fait presque châle, mais pas assez pour que l'on puisse s'en servir en tant que capuchon, et des manches ajustées qui laissent bien les mains au froid. Or, tout le monde sait que les gants ne tiennent pas chaud, à part ceux qu'on met pour le ski ou la moto. Mais peut-on porter un manteau magnifique de ville avec des gants sportifs. Que non, voyons!
D'où mon idée de génie. C'est une sorte de "boléro-mitaines ouvertes-col-cagoule".
La photo d'en bas, c'est le "boléro-mitaines ouvertes-col" et la photo d'en haut, c'est le "boléro-mitaines ouvertes-col" avec la "cagoule-col".
Pourquoi les mitaines ouvertes me demanderas-tu! Ce à quoi je te répondrais qu'il ai plus aisé de tenir une cigarette avec les doigts qu'avec des mouffles.
Et pourquoi le trou dans la cagoule, me questioneras-tu encore! Et ce à quoi je te répondrais fièrement que c'est pour libérer la bouche afin d te permettre de tirer sur ta clope. Car je ne sais pas si tu le sais, mais quand tu vas promener les chiens pas -2° Celcius, tu te les gèles. Du coup, tu fumes moins, non parce que tu n'as pas envie, mais que cela devient une torture lorsque l'on est pas équipé pour. D'où cette création superbe, faite de fils fantaisie synthétiques, qui non seulement tient chaud, mais te permets d'être aussi naturelle en hiver rude qu'en été. Car c'est pour femme, évidemment.
Je devrais peut-être en créer un pour homme, mais avec d'autres couleurs et peut-être éviter l'effet fourrure. A exploiter!
Je sens que je vais m'attirer des ennuis avec la ligue anti-tabac, mais on peut aussi porter ce vêtement en étant non-fumeur, ça marche aussi.
Mais il faut que mon modèle le porte afin de mieux comprendre comment tout cela fonctionne. Et c'est là que tu comprendra le miracle sorti de mon génie.
Et qu'est-ce que la fibre synthétique?! Ben c'est tout simple!
Dans le textile, la fibre synthétique est une fibre (ou un fil) produit à partir de matière(s) synthétique(s).
Une matière synthétique est une matière obtenue par synthèse de composés chimiques. Ces composés chimiques viennent presqu'exclusivement d'hydrocarbures ou d'amidon.
La première fibre plastique commercialisée en 1938 est le nylon, depuis de nombreux tissus synthétiques sont apparus : les fibres acryliques, l'aramide, l'oléfine et le polyester. On connaît moins les secrets de fabrication dans l'utilisation des fibres synthétiques à des fins industrielles particulières, telles que les matériaux d'isolation, ou notamment la fabrication de tissus pare-balles, aliées à d'autres substances. Dixit wikipedia,fr.
Mais je te rassure, ce vêtement n'est pas fait en fibres pare-balles.
Donc ce vêtement est en pétrole et patate. C'est rassurant non?!
Bon, sur ce, je te laisse car j'ai d'autres choses à faire!
A+





jeudi 8 janvier 2009

Fable moderne

Il y a très longtemps sur Terre ou sur une autre planète, des hommes se battaient pour la suprématie, pour des territoires, pour des broutilles, quoi!Chacun pétri d'un ressentiment envers l'autre du camp adverse ne savait plus vraiment à quoi ressemblait cet autre, cet ennemi. Tant proches qu'ils étaient eux-même physiquement; ils commençaient à ne plus se reconnaître du tout, mais malgré cela, ils continuaient à se battre car seul un tatouage d'indentification les faisait se retrouver par clan. Un jour des Généraux des deux camps venus d'ailleurs, traînant une petite cage debarquèrent et leur dirent que la guerre était finie car ils avaient en priant très fort dénicher la colombe de la paix. Cette colombe mythique qui fait que tous les peuples se rejoignent. L'espoir renaissait ou plutôt naissait.On ouvrit la cage et une colombe en sortit la tête haute, fière de sa mission; une volée de tirs fît feu sur la colombe qui tombant à terre s'éparpillât en milliers de pétales rouges.Les Généraux hurlèrent : " Pourquoi avoir fait ça! Vous avez anéanti tout espoir de paix."Sur la figure des soldats se lût le désarroi et l'incompréhension.Avaient-ils jamais vu une colombe? Etait-ce possible?On dût se rendre à l'évidence : depuis soixante ans aucun des soldats n'en avait jamais vu une car chacun le sait, les colombes ne volent pas sur les champs de guerre et encore moins ne s'y arrêtent pour s'y faire admirer.

dimanche 4 janvier 2009

Une "création"



Coucou, cher lecteur.

Et voilà ma nouvelle création que j'ai nommée "un désastre".

Car c'est bien de cela qu'il s'agit.

L'idée était excellente, innovante, que dis-je, géniale...à la base. Mais cela n'a pas du tout donné ce que je voulais. Et j'en ai passées des heures et des pelotes de laine. Une laine synthétique assez spéciale, de celle qu'on arrive pas à défaire.

Mais je ne m'avoue pas vaincue, car même si ça a donné une catastrophe, ce n'est pas irratrappable, et je vais rattraper la chose. Ce sera toujours excellent, innovant, mais peut-être un peu moins génial.

C'est au col que je me suis trompée. Comme on le distingue très bien sur la photo. Le col n'est pas ce qui est bordeau, mais ce qui est vieux rose. Et même ça, ce fût un mauvais signe, car j'avais en tête que je possèdais de la laine mauve.

Maudit copain Alzeihmer.

Et un bordeau encore plus bordeau et poilu n'aurait pas été. Heureusement que j'avais ce vieux rose qui, tout compte fait, se marie très bien avec la couleur du bas. Et, au lieu de raccourcir, j'ai pris peur et j'ai évasé. L'erreur!

Bref, comme ces pelottes poilues sont trompeuses, on remarque très bien sur la photo aussi, le sachet de petits écheveaux poilus vieux rose qui me reste pour rattraper ma connerie.

Et j'ai encore une idée, mais que je ne dévoilerai pas sur ce blog, ne voulant pas être plagiée. Déjà que je montre mon travail...Je prends des risques...Si Si

Mais j'ai confiance en toi, cher lecteur, et c'est pourquoi je te donne tant d'informations. Et que de toute façon, ce blog est tellement fréquenté que je ne puis manquer te donner les détails de mon travail et ceci aussi pour te montrer que si je ne bloggue pas tous les jours, c'est que je crée!

Et l'artiste en moi a besoin parfois de silence et de distance pour pouvoir développer mon potentiel créatif, tel le peintre devant sa toile blanche, tel l'écrivain devant sa page blanche, tel le musicien devant sa partition vide. Je suis le Mozart du désastre! L'Einstein du tricot!

Bon, sur ce, je dois aller enfiler un cordon que j'ai tiré de mon pantalon, ce matin. Et ça, c'est pas coton.

Fais que des conneries ces temps!

A+