dimanche 25 janvier 2009

Mon truc porté


Voilà, cher lecteur, cette création dont je t'ai abondemment parlé lors de mes commentaires précédents.
Et si je ne me suis pas manifestée pendant une dizaine de jours, c'est qu'il a fait très froid et que je me fûsse cassée la figure sur la glace au total sept fois, dont les trois dernières me fûssent fatales.
Je ne pût donc prendre des photos, car ce qu'il faut savoir, c'est qu'il faut en faire des centaines pour en avoir que quelques bonnes.
Et, faire des photos exige de se contorsionner pour trouver le bon angle, la bonne lumière, et ne pas trembler. Or, prendre des photos quand on est contusionnée de partout n'est pas vraiment une partie de plaisir.
Mais je suis stoïque et je ne narrerai pas toutes les parties du corps qui rencontrèrent subitement sur la glace vive, j'en aurai pour un chapître.
Ce que je dois ajouter aussi, c'est que mon modèle est toute fine et qu'elle ne portait qu'un petit pull pour ne pas étouffer dans la chaleur de l'appartement. Mais ce survêtement doit ou peut se porter aussi sur des gros pulls.
Comme j'ignore totalement comment les photos vont s'afficher sur le billet final, je vais expliquer un peu au petit bonheur la chance.
Il y a une photo où on ne voit que la 1ère partie de cet outillage hivernal. C'est le "boléro-manches longues-gants ouverts". Le col évasé est fait façon fourrure vieux rose.
Une 2ème photo montre le "boléro-manches longues-gants ouverts" avec "l'écharpe-bonnet avec trou pour fumeur" posé sur le "boléro-machin".
Une 3ème photo montre (saloperie de logiciel, on peut pas faire de copié-collé) le boléro-truc avec le bonnet-machin relevé. On ne voit pas le trou, ce qui prouve qu'on peut aussi le porter si on est non-fumeur.
Et enfin une 4ème photo qui montre le tout, de dos.
Ce n'est pas génial!
Bon, cher lecteur virtuel, je te laisse déjà, avant que mes pâtes se transforment en une sorte de bouillie immangeable.
A+








vendredi 16 janvier 2009

Le retour, je sais, déjà utilisé, mais j'ai pas trouvé mieux

Bonjour cher lecteur. Et je sais, je n'ai pas beaucoup bloggué. En tout cas pas sur ce magnifique site que j'ai lâchement abandonné un certain temps.
J'ai beaucoup pipelété sur des tas de networks que je ne contrôle absolument plus, mais, j'ai tout de même continué à créer. Et si il m'a fallu un certain temps pour confectionner cet article absolument génial, c'est qu'il me manquait de la laine, juste pendant la période des fêtes, évidemment, et que j'ai dû patienter pour recevoir la commande afin de terminer ce merveilleux ouvrage; n'est-il point!
Que je t'explique un peu ce que c'est, car c'est du jamais vu et cette idée sortie de mon génie naturel peut être plagiée.
En fait, c'est un ensemble, mais il peut être porté indifféremment, selon le climat. Ce n'est pas un article d'été! Je ne le solderai donc point non plus, mais il fera partie de notre collection hiver 2009-2010, voire plus.
C'est, ou ce sont deux survêtements. Mais ce que j'appelle survêtements, c'est qu'ils vont sur les vêtements, juste sous un grand manteau, fichus manteaux très beaux et très mode dont la fermeture éclair s'arrrête promptement assez bas afin de déployer un grand col qui fait presque châle, mais pas assez pour que l'on puisse s'en servir en tant que capuchon, et des manches ajustées qui laissent bien les mains au froid. Or, tout le monde sait que les gants ne tiennent pas chaud, à part ceux qu'on met pour le ski ou la moto. Mais peut-on porter un manteau magnifique de ville avec des gants sportifs. Que non, voyons!
D'où mon idée de génie. C'est une sorte de "boléro-mitaines ouvertes-col-cagoule".
La photo d'en bas, c'est le "boléro-mitaines ouvertes-col" et la photo d'en haut, c'est le "boléro-mitaines ouvertes-col" avec la "cagoule-col".
Pourquoi les mitaines ouvertes me demanderas-tu! Ce à quoi je te répondrais qu'il ai plus aisé de tenir une cigarette avec les doigts qu'avec des mouffles.
Et pourquoi le trou dans la cagoule, me questioneras-tu encore! Et ce à quoi je te répondrais fièrement que c'est pour libérer la bouche afin d te permettre de tirer sur ta clope. Car je ne sais pas si tu le sais, mais quand tu vas promener les chiens pas -2° Celcius, tu te les gèles. Du coup, tu fumes moins, non parce que tu n'as pas envie, mais que cela devient une torture lorsque l'on est pas équipé pour. D'où cette création superbe, faite de fils fantaisie synthétiques, qui non seulement tient chaud, mais te permets d'être aussi naturelle en hiver rude qu'en été. Car c'est pour femme, évidemment.
Je devrais peut-être en créer un pour homme, mais avec d'autres couleurs et peut-être éviter l'effet fourrure. A exploiter!
Je sens que je vais m'attirer des ennuis avec la ligue anti-tabac, mais on peut aussi porter ce vêtement en étant non-fumeur, ça marche aussi.
Mais il faut que mon modèle le porte afin de mieux comprendre comment tout cela fonctionne. Et c'est là que tu comprendra le miracle sorti de mon génie.
Et qu'est-ce que la fibre synthétique?! Ben c'est tout simple!
Dans le textile, la fibre synthétique est une fibre (ou un fil) produit à partir de matière(s) synthétique(s).
Une matière synthétique est une matière obtenue par synthèse de composés chimiques. Ces composés chimiques viennent presqu'exclusivement d'hydrocarbures ou d'amidon.
La première fibre plastique commercialisée en 1938 est le nylon, depuis de nombreux tissus synthétiques sont apparus : les fibres acryliques, l'aramide, l'oléfine et le polyester. On connaît moins les secrets de fabrication dans l'utilisation des fibres synthétiques à des fins industrielles particulières, telles que les matériaux d'isolation, ou notamment la fabrication de tissus pare-balles, aliées à d'autres substances. Dixit wikipedia,fr.
Mais je te rassure, ce vêtement n'est pas fait en fibres pare-balles.
Donc ce vêtement est en pétrole et patate. C'est rassurant non?!
Bon, sur ce, je te laisse car j'ai d'autres choses à faire!
A+





jeudi 8 janvier 2009

Fable moderne

Il y a très longtemps sur Terre ou sur une autre planète, des hommes se battaient pour la suprématie, pour des territoires, pour des broutilles, quoi!Chacun pétri d'un ressentiment envers l'autre du camp adverse ne savait plus vraiment à quoi ressemblait cet autre, cet ennemi. Tant proches qu'ils étaient eux-même physiquement; ils commençaient à ne plus se reconnaître du tout, mais malgré cela, ils continuaient à se battre car seul un tatouage d'indentification les faisait se retrouver par clan. Un jour des Généraux des deux camps venus d'ailleurs, traînant une petite cage debarquèrent et leur dirent que la guerre était finie car ils avaient en priant très fort dénicher la colombe de la paix. Cette colombe mythique qui fait que tous les peuples se rejoignent. L'espoir renaissait ou plutôt naissait.On ouvrit la cage et une colombe en sortit la tête haute, fière de sa mission; une volée de tirs fît feu sur la colombe qui tombant à terre s'éparpillât en milliers de pétales rouges.Les Généraux hurlèrent : " Pourquoi avoir fait ça! Vous avez anéanti tout espoir de paix."Sur la figure des soldats se lût le désarroi et l'incompréhension.Avaient-ils jamais vu une colombe? Etait-ce possible?On dût se rendre à l'évidence : depuis soixante ans aucun des soldats n'en avait jamais vu une car chacun le sait, les colombes ne volent pas sur les champs de guerre et encore moins ne s'y arrêtent pour s'y faire admirer.

dimanche 4 janvier 2009

Une "création"



Coucou, cher lecteur.

Et voilà ma nouvelle création que j'ai nommée "un désastre".

Car c'est bien de cela qu'il s'agit.

L'idée était excellente, innovante, que dis-je, géniale...à la base. Mais cela n'a pas du tout donné ce que je voulais. Et j'en ai passées des heures et des pelotes de laine. Une laine synthétique assez spéciale, de celle qu'on arrive pas à défaire.

Mais je ne m'avoue pas vaincue, car même si ça a donné une catastrophe, ce n'est pas irratrappable, et je vais rattraper la chose. Ce sera toujours excellent, innovant, mais peut-être un peu moins génial.

C'est au col que je me suis trompée. Comme on le distingue très bien sur la photo. Le col n'est pas ce qui est bordeau, mais ce qui est vieux rose. Et même ça, ce fût un mauvais signe, car j'avais en tête que je possèdais de la laine mauve.

Maudit copain Alzeihmer.

Et un bordeau encore plus bordeau et poilu n'aurait pas été. Heureusement que j'avais ce vieux rose qui, tout compte fait, se marie très bien avec la couleur du bas. Et, au lieu de raccourcir, j'ai pris peur et j'ai évasé. L'erreur!

Bref, comme ces pelottes poilues sont trompeuses, on remarque très bien sur la photo aussi, le sachet de petits écheveaux poilus vieux rose qui me reste pour rattraper ma connerie.

Et j'ai encore une idée, mais que je ne dévoilerai pas sur ce blog, ne voulant pas être plagiée. Déjà que je montre mon travail...Je prends des risques...Si Si

Mais j'ai confiance en toi, cher lecteur, et c'est pourquoi je te donne tant d'informations. Et que de toute façon, ce blog est tellement fréquenté que je ne puis manquer te donner les détails de mon travail et ceci aussi pour te montrer que si je ne bloggue pas tous les jours, c'est que je crée!

Et l'artiste en moi a besoin parfois de silence et de distance pour pouvoir développer mon potentiel créatif, tel le peintre devant sa toile blanche, tel l'écrivain devant sa page blanche, tel le musicien devant sa partition vide. Je suis le Mozart du désastre! L'Einstein du tricot!

Bon, sur ce, je dois aller enfiler un cordon que j'ai tiré de mon pantalon, ce matin. Et ça, c'est pas coton.

Fais que des conneries ces temps!

A+