Vacances d'été2

J'ai mis vacances d'été 2, car à peine commencer, j'ai déjà foiré.

C'est que je n'ai plus l'habitude de blogger, car ayant été très occupée ces derniers jours, j'ai un peu oublié. Voilà la raison de deux titres pour la même journée, aux mêmes heures, au même moment, quoi!

Mais j'ai été soulagée de constater que je n'ai manqué à personne au vu du nombre de commentaires que je n'ai pas reçus. Je peux même mettre commentaire au singulier, ça ne gênera personne.

Bref, comme je viens de le dire, j'ai été très occupée...au téléphone pour me dépanner de VISTA, et où finalement, je me suis dépannée toute seule comme une grande, car même pour les pros, VISTA n'a pas dévoilé tous ses mystères, et, comble des combles, n'est pas vraimant le même selon les PC. Or je ne connaissais pas ACER, mon PC, et VISTA, mon environnement. Mais de cela, tout le monde s'en fout et c'est pour ma pomme.

Mais que je n'ai pas que fait que cela! Oh que non! Je vais ajouter une photo pour que tout le monde comprenne de quoi je vais parler.

Àmes sensibles s'abstenir!

Surtout la mienne, parce que je ne sais pas encore où cette photo va s'afficher.

Avant tout, je ne sais pas si comme moi, cher lecteur, as-tu remarqué qu'avec VISTA, il faut toujours se méfier où est le curseur, car si tu n'y prettes pas gare, ton texte continue dans une autre partie du message. L'astuce : toujours avoir l'oeil sur ta petite barre verticale. Tu sais que si elle disparaît, t'es dans la m...

Bon, mettons cette photo qu'on en finisse.

2 secondes, j'arrive pas à trouver où j'ai mis cette p...etite photo.

Ben voilà! J'ai faussé le tout et j'ai planté ma bobine à la place. Il faut que je trouve le moyen d'enlever cette photo qui n'a rien à voir avec ce que je veux dire.

Je vais chercher après comment m'enlever de là, mais parlons de la photo de cette perle que j'ai photographiée en mode macro, mode que je ne maîtrise pas encore tout-à-fait, mais là, je me dis que ça fait peu de choses que je maîtrise vraimant ces derniers jours.

Comme on ne peut pas vraimant le voir sur cette macro un peu floue, c'est que c'est une perle en résine de couleur orange moirée de blanc-beige absolument magnifique. Je la décris pour mieux comprendre comment est vriamant la perle.

Cette perle en résine a un diamètre de 22 à 23 mm et a un trou central afin d'y passer un câble pour en faire un collier, par exemple. Non que je te prenne pour un con, cher lecteur, mais c'est là que réside tout le fin du fin de cette histoire. C'est que le trou est bouché! Et sur tout le lot de perles. Toutes les perles ont 2 trous de chaque côté...qui ne débouchent pas.

Dans mon infinie bonté, j'ai offert l'année passée, une perceuse BOSCH avec toutes les mêches et tout et tout, la BOSCH par excellence, et il est vrai qu'on a jamais fait autant de trous que depuis qu'on a une perceuse BOSCH, pire que le poinçonneur des Lilas, et je dis perceuse,,,mais c'est une perceuse-visseuse-et-dévisseuse-avec-lampe-intégrée...Conforama nous voilà! Bref, j'ai offert cette super-perceuse BOSCH avec mode d'emploi , à mon cher et tendre concubin.

Ce cher mode d'emploi! Mais je me suis déjà prononcée à son sujet, dans un des messages de ce blog et que tu n'as certainement pas lu, cher lecteur.

Et nous voilà partis, enfin, c'est mon concubin qui est parti, à percer les perles. Fort de son enthousiasme il allât, de plein coeur, me trouer ces perles sur le balcon. Un régal, que ces supers perceuses BOSCH!

Et les perles se trouâmes fastoche! Mon petit panier s'emplît. Et nous fûmes heureux, tous les deux, au soleil, au ronronnement assourdissant de cet engin magique. Que ce fût beau, la technologie à ce moment-là. Emouvant!

Le seul petit hic qui vînt assombrir notre bonheur, est qu'une perceuse qui perce chauffe la matière, et une fois la mêche ressortie, la résine se recollât, poil au chocolat, mais ça, ça ne fait rire que moi.

Mon panier fût rempli de perles de résine à 2 trous sans débouché!

C'est là que nous nous cousultîmes du regard. Fusse possible?! Une mêche complètement enrèsinée pour rien?! Allâmes-nous nous laisser abbattre par cette expérience oh combien éprouvante?! Que nenni!

Je prisse donc une aiguille et secondasse mon concubin dans sa seconde intervention. Il fallât être synchro et nous le fûmes. Il recommançât le labeur et dès que la perle fût à nouveau percée d'un bout à l'autre, je me précipitis sur elle et lui enfoncis l'aiguille dans le trou de balle et tournoyis tournoyas jusqu'à ce que la perle fusse refroidie.

C'est ainsi que nous passâmes ce merveilleux moment de congé et que je pûs faire une parure de toute beauté que je ne présenterai qu'à la rentrée.

Sur ce, je vais essayer maintenant d'enlever ma bobine de là et je te quitte, cher lecteur, jusqu'à ce que j'aie quelque chose d'interressant à raconter. Comme d'habitude, quoi!