dimanche 28 juin 2009

Ma création qui dure depuis plus de 6 mois

Je mets juste le titre, je reprendrai le blog plus tard.
Je viens de me souvenir que je n'ai pas que ça à faire. Désolée pour tous ceux qui attendent la suite des événements, mais je ne vous oublierai pas...

Je reviens. Visiblement, on a pas besoin de moi pour l'instant, donc je peux continuer à disserter sur le sujet passionnant que je voulais partager avec toi, cher public virtuel.

Mais d'abord, photos afin que la compréhension de mes problèmes soient mieux perçus. J'y vais et dieu sait où elles vont encore gicler, puisque de toute façon, même dans l'aperçu du billet, elles ne figurent jamais là où je voudrais qu'elles soient.
Je ne m'obstinne (si ça prend qu'un n, c'est encore mon problème) plus et que je te télécharge ces photos tandis que mon souper est gentiment en train de brûler...mais il y a encore pas trop de fumée, je peux encore voir ce qui se passe sur mon écran.
P'tite sauvegarde quand même, au cas où.
Cette ravissante photo sur ta gauche montre le collier sur lequel je merde depuis 6 mois. Pourquoi? Me diras-tu, comme ma meilleure amie qui me dit qu'il est fini. Que non, que répondis-je, larmoyante, ne vois-tu donc point qu'il est raté? Que nenni, me répondit-elle prestement. Que oui, répondis-je aussitôt. Et là, j'arrête, car je pourrais faire des copiés-collés pendant un moment.
Ce collier est fait de grande gemmes de jasper rare ainsi que de petites perles d'opaline et de perles de bohême, du plus bel effet si ce bandeau à la con n'était pas complètement raté. Et c'est ce bandeau qui me gêne. C'est le pourquoi du comment je merde depuis six mois. Et rien que pour ça, je vais me changer les idées en bloggant sur autre chose que ce foutu collier qui me donne du fil à retordre. (Excellent, ce jeu de mot, mais il y a que moi qui peut le comprendre, donc il doit faire un flop total sur ce blog de haut niveau.)
Je vais donc parler d'autre chose, car déjà qu'il y a plein de choses dans la tête pour un neurone, je vous présente sur la gauche de votre écran, Kant.
Comme tu peux le constater, Kant est un galgo, soit un lévrier espagnol, ancêtre de tous les lévriers qui ont apparu par la suite, et c'est un être complètement traumatisé, comme tu peux le constater. Le voir ainsi me fait mal au coeur, mais il me faut montrer cette photo pour voir comment se comporte un chien maltraîté.
Quoique je me demande parfois qui est maltraîté dans l'histoire, mais je n'irai pas plus loin, ne voulant pas pleurer sur mon sort.
Kant apporte beaucoup de qualité à sa maîtresse chérie. Il lui apporte l'attitude zen, c'est-à-dire attendre une à deux heures calmement, sur place, plein soleil, pour que ce cher chien ne se montrasse jamais, mais qui montre à quel point le natel est utile pour faire de nouvelles connaissances et de payer des cafés à celui ou celle qui l'a trouvé, c'est-à-dire au bistrot où j'ai l'habitude d'aller boire mon kawa.
Il lui apporte aussi un soutien sportif lorsque j'ai la merveilleuse idée de changer d'endroit pour qu'il ne fuie pas directement à la pinte. Ainsi, je fais de merveilleux échanges avec les gens qui pique-niquent dans les bois ou alors, je dois aller le chercher ailleurs, car MÔsieur croit tout savoir et se trompe de chemin. J'ai adopté ainsi la zen-attitude. Du moins quelques temps, car je l'avoue humblement, je peux parfois m'énerver.
Et sur cette dernière photo de gauche, tu peux admirer le profil de Mister Tao, Shi-tzu de sa lignée, qui me sert de réveil-matin, celui dont on a parfois envie de taper sur le bouton pour que ce-dernier s'éteigne.
Mais Mister Tao ne s'éteind pas et pire, il insiste...le con.
Zen-attitude se réveille, se met la tête sous l'eau froide, car ce n'est pas à dix heures que Mister Tao se met en branle...que non. 7h30 pètante et parfois moins.
Souvent moins.
7h30, c'est quand il est gentil ou qu'il pleut.
Bref, comme tu vois, cher public virtuel, je suis emplie de problèmes vitaux et de plus, je n'arrive pas à mettre la traduction automatique de mon site web, bien que je sois sur une piste, mais qu'il me faille encore exploiter ces fonctions que je qualifierai de belles merdes pour l'instant, mais c'est la colère qui parle!
Bon, c'est pas tout ça, cher public, mais là vraimant, le devoir m'appelle. Je ne t'abandonne que pour un petit moment, n'aie pas peur!
A+

Aucun commentaire: