mardi 23 décembre 2008

Vision de ma création pas encore brevetée, mais faut des sous pour ça.

Bonsoir cher lecteur virtuel.
Voilà l'objet une fois porté de différentes façons. Cette fameuse invention dont je t'ai parlé dans le billet précédent, crois-je!
N'est-ce point du pur génie!
Trois, voire quatre objets en un.
Et, ce que l'on ne voit pas, c'est qu'il y a un trou entre la laine poilue orange et celle qui est brune, et ce, pour les fumeurs.
C'est en me balladant en forêt, avec mes deux monstres que l'idée a germé dans mon esprit créatif. C'est surtout quand la neige accumulée...Mais n'ai-je donc point déjà raconté cette histoire sur un billet précédent?
Il me semble. Donc je vais stopper là l'historique de cette douce, très douce merveille et me reste plus qu'à la breveter. Mais, obtenir un brevet coûte. Alors, d'accord pour payer 2 patates pour un brevet, mais à quoi va-t'il me servir si je ne construis pas l'usine à faire uniquement ce truc original et unique?!
Et le sera-t'il encore, original et unique, si j'en fais des milliers d'exemplaires, hein?!
Bon, je veux bien aller essayer de frapper à la porte du mécène Madoff, mais je crois que je vais avoir un peu de peine à l'approcher ces temps.
Et puis bon, c'est quand même la crise et peu de personne vont trouver ces pelochons crédibles en plein réchauffement climatique!
Ah, quel dilemme! (là, j'avoue que j'ai un doute sur l'ortographe...de dilemme. Et comme j'ai une flemme phénoménale de chausser mes lorgnons et d'aller chercher dans ce dictionnaire qui pèse trois tonnes au bas mot...)
Non! Maintenant, comme en tout temps de crise incroyable, c'est dans l'armement qu'il faut se recycler. Hitler l'avait fait pour remonter l'économie de l'Allemagne entre deux guerres, et ça a marché. Une Allemagne en ruine est devenue une Allemagne prospère avec plein de petits nazis partout. Mais ne remuons pas le couteau dans la plaie envers nos amis allemands qui ont bien payé leur erreur!
D'ailleurs maintenant, on refait la même chose. Et qu'on se fasse des petits contrats d'armement par-ci, par-là, afin de redynamiser une économie qui, avouons-le, est un peu en berne en ce moment.
Mais pas en ce qui concerne les armes...que non! Quelques petits milliards parsemés dans des pays en paix pour armer les concitoyens et donner du travail aux fournisseurs, qui donneront du travail aux ouvriers, qui seront tout contents car ils toucheront salaires et qui pourront manger à leur faim et qui pourront payer leurs impôts dont une partie ira pour l'armée et le tour est joué!
Alors moi, avec mon bonnet-col-pelochon, j'ai qu'à aller voir chez les esquimaux!
J'aurais plus de succès avec une serbe à canne. Canne à sucre évidemment. Celle plantée au Brézil à la place de la jungle amazonnienne. Mais là, je commence à me perdre. Et c'était juste pour te distraire, cher lecteur cybernétique, car je ne sais pas du tout comment on écrit serbe à canne. Et là, comme c'est écrit, j'ai la vague impression qu'on puisse interprêter ce mot différemment.
Bon, sur ce billet oh combien et à nouveau hyper interressant, à croire que je ne sais faire que ça, je m'en vais te laisser, cher lecteur, car ma messagerie déborde et je n'ose aller consulter l'autre!
Sans compter Orkut, mais là, je gère plus!
A+
Et joyeux Noël avec de beaux sapins et de belles bougies.
Et n'oublie pas que, suivant le type de sapin que tu as exécuté, celui-ci doit être dans un endroit hyper ventilé, car s'il sêche, il peut accumuler des gaz inflammables incroyables, qui te distroyent ton appart en cinq minutes, montre en main. Alors, avec ma clope qui tombe dans le lit, c'est de la rigolade à côté!
Bon, je me tire.
Ciao







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