lundi 8 septembre 2008

Vive les vacances


Salut, cher lecteur.
Quel drôle de titre, me diras-tu. Ce à quoi, je te répondrais crânement, si le curseur me laisse tranquille, "et ben oui! Tout le monde est rentré, donc je peux partir!"
Car il fait bon de passer l'été à Lausanne, fui par une grande partie de ses habitants, où déambulent quelques touristes reconnaissables à leur appareil photo numérique dernier cri et le plan de Lausanne à la main, recherchant le nom d'une rue d'où laquelle ils peuvent s'orienter et, las de ne pas trouver leur bonheur, s'approchent de toi afin de te quémander quelqu'information sur le lieu tant recherché. Et pourtant, Lausanne est simple. En bas, tu as le lac Léman que les genevois appellent Lac de Genève mais qui n'ont que l'embouchure du Rhône qui ira irriguer la douce France, et en haut, tu as le lac de Sauvablin qui n'irrigue rien du tout et qui de plus, est mourant. Tout cela à cause de ces cons de gamins qui jettent du pain aux canards sous les yeux attendris de leur pignoufs de parents, et qu'est-ce qui se passe?! Hein?! Ben, les canards y bouffent le pain et du coup, y mangent plus les algues. Et qu'est-ce qu'elles font, les algues, quand elles ne sont plus mangées?! Hein?! Ben, elles prolifèrent à grande vitesse. Et qu'est-ce que ça fait, des algues qui prolifèrent à grande vitesse?! Hein?! Ben, elles bouffent toute l'oxygène de l'eau. Et les poissons, ben y meurent à l'étouffée! Voilà un désastre écologique appris dès la plus petite enfance!
Maintenant que les touristes sont partis et que les Lausannois sont revenus mettre plein de CO2 en ville, ben on se casse.
Dans trois jours on se tire, en mettant du kérozène dans les hautes couches de l'atmosphère pendant 3 heures, pour Istanbul et ce, pour une petite semaine.
Et oui! Je sens déjà que tu vas t'ennuyer de moi, cher lecteur. Mais ce n'est qu'une petite semaine après tout. Pas de quoi fouetter un chat. Y a plein d'autres blogs. Certes, pas aussi interressants que le mien, mais tu apprécieras d'autant plus mon retour sur la toile.
A part ce prologue d'une certaine intensité émotionnelle, j'ai mis une macro d'une netteté...
Ce sont de grosses turquoises et des nuggets de lave. (j'ai mis un double-mètre à côté) Et j'aimerais faire un collier avec ça. Mais je ne sais pas du tout comment je vais m'y prendre, car c'est bien joli d'avoir de grosses turquoises. Mais c'est d'un poids!!! Donc il faut vraimant que je réfléchisse à comment je vais faire pour soulager la nuque. Car faire des boucles d'oreille avec ça, il est évident que ce n'est pas possible. Ou alors, il faudra accepter que le lobe touche l'épaule. Perso, ça ne me plairait pas trop. En bracelet, il faudrait condamner le bras gauche pour les droitières et inversément, cela va de soit. Je me demande même pourquoi je l'écris. C'est presque du remplissage.
Donc, j'ai opté pour un collier.
Alors, les perles sont là, et, entre préparer mes étiquettes pour mes bagages et chercher mon passeport, je vais essayer de créer un collier agréable à porter et qui ne fera pas tomber la tête de la furure acquéreuse dans le plat de spaghettis qu'on lui aura servis lorsqu'elle sera invitée par un belâtre qui lui aura fait auparavant une cour intensive.
C'est pourquoi, je suis déjà dans l'obligation de te laisser, cher lecteur. Je sais, je sais. C'est un message un peu court. Mais le devoir m'appelle, et je vais aller regarder quand même une fois si appelle prend 2 P ou 2 L. Je mets toujours les deux, ça fait 50% d'erreur d'ortogtaphe pour ce maudit mot.
A+

Aucun commentaire: